Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : mais Christiane je suis vivante

  • ET ENCORE UN CAFÉ !

    Imprimer

    FICHE 14

    ET

    ET ENCORE UN CAFÉ !

                                             SUITE : COMMENT INTERPRÉTER UN OBJET

     

    Depuis cinq « leçons », nous étudions comment déchiffrer l’image d’un objet. Vous avez vu différentes approches :

    - fuir les interprétations toutes faites proposées par la psychanalyse et les catalogues de symboles.

    - pratiquer la technique de l'interview,

    - écouter la langue des oiseaux

    - chercher la marque de l’objet ( le camembert Président)

    - faire attention au sens figuré du mot ( laver le porte-savon )

    - tenir compte de la métonymie ( le contenant foulard désigne en fait le contenu cou.)

    5-1.png

     

    La dernière fois nous avons aussi examiné de façon détaillée le sens de ces choses merveilleuses que sont le café et le champagne.

    Et aujourd’hui, je vous remets ça !

    Le rêve d’aujourd’hui vous présente encore du café.

    Oh mais !.. Pourquoi ?…on vient juste de voir ça !

    Oui, oui, mais, … surprise…surprise… 

     

    images.jpg

    Je vais vous parler de Lorette.

    Lorette, qui tient une ferme à la campagne, connaît une vie intérieure très vive : elle aspire à demeurer dans la lumière et l’amour du Christ, qui lui est apparu plusieurs fois en rêve.

     

    Christ.jpg

    Elle s’efforce d’éviter tout « pêché » et de vivre dans la pureté et la perfection. Dernièrement elle reçoit un rêve :

     

    Rêve 36

    Je suis chez ma mère, assise dans sa cuisine.

    Le prêtre, le père Pierre François entre. Je m’en vais à la salle de bains.

    Quand je reviens, il n’est plus là.

    Je demande à maman :

    - Tu lui as offert un café ?

    - Désolée, me dit-elle, je n’y ai pas pensé.

     

    Histoire bébête, rêve prosaïque.

     

    Mais passons à l’interprétation

    Qui sont donc ces différents personnages ?

    Ma mère

    Lorette explique :

    Ma mère est morte depuis plusieurs années. C’était une femme dévouée qui a tout fait pour ses 7 enfants. Elle a toujours eu beaucoup de travail pour s’occuper de la famille et de la maison. Elle ne manifestait pas son affection par des gestes tendres, mais tout ce qu’elle faisait, elle le faisait avec cœur. 

    Quand je demande à Lorette à qui lui fait penser à l’intérieur ou à l’extérieur d’elle quelqu’un qui se dévoue à sa famille, sans cependant manifester son affection par des gestes tendres, elle se reconnaît immédiatement.

    La mère de Lorette représente donc le côté maternel de Lorette qui met tout son cœur à prendre soin de sa famille.

     

                                                          Lorette.jpg

    La cuisine

    Pour Lorette, c’est dans le foyer le lieu par excellence où la mère manifeste son amour en préparant de bons petits plats pour les siens. Une cuisine est un lieu d’accueil chaleureux, où l’on se retrouve avec plaisir.

    C’est là qu’entre alors

     

    Le prêtre, le père Pierre François

    Questions

    - Un prêtre, qu’est-ce donc ?

    - C’est un homme qui aide dans la vie spirituelle, il guide vers Dieu.

    - Et le père Pierre François,  vous pouvez me dire comment il est ?

    - Il vit dans le quotidien,

    il me connaît bien,

    il me dit toujours que je me casse trop la tête,

    que je me culpabilise trop,

    que mes efforts vers la perfection ne me conduisent pas forcément vers Dieu .

    Il me dit que je suis bien comme je suis, que Dieu m’aime comme je suis, avec mes imperfections.

     

    Récapitulé et lien

    - Lorette, dîtes-moi, quelqu’un qui vous aide dans votre vie spirituelle, qui vous connaît bien, qui vous dit que Dieu vous aime comme vous êtes, à qui cela vous fait-il penser à l’extérieur ou à l’intérieur de vous ?

    - A l’extérieur, au père bien sûr…

    A l’intérieur ? Qui ce serait ? En moi ?

    Lorette poursuit son monologue :

    - En moi, quelqu’un, qui me connaît, ? …qui me dit que Dieu m’aime comme je suis … ? Mais…est-ce que ce ne pourrait pas être Dieu ?

     Sens de l’image

    Dieu, voilà le sens que Lorette propose pour l’image du prêtre.

    père.jpg

    Vérifications

    - Bon, dis-je, c’est une première hypothèse d’interprétation. Nous allons faire les vérifications.

    Je reprends donc toutes les associations de la rêveuse  et demande :

  • UNE PETITE MERVEILLE

    Imprimer

    rêves,rêve médecin,christiane riedel interprète de rêves,problèmes cardiaques

     

    Mes chères blogueuses

    Mes chers blogueurs,

     

    C'est avec un vrai plaisir que je viens vous retrouver aujourd'hui. J'ai envie de vous raconter un petit rêve, une petite merveille, un petit rêve que j'ai reçu.

    Mais il me faut auparavant vous dire avec précision les circonstances dans lesquelles ce rêve est venu. Et pour une fois, je vais vous parler de moi plus personnellement.

    En octobre 2016, j'ai fait de la tachycardie. Le cardiologue m'a prescrit le top des top, deux médicaments du dernier cri : pour le coeur un bêtabloquant qui en régularise les battements et pour le sang, un anticoagulant, afin d'éviter l'éventuelle formation de caillots qui pourrait provoquer un accident vasculaire cérébral.

    rêves,rêve médecin,Christiane Riedel interprète de rêves,problèmes cardiaques

     

    Catastrophe !

    Que vous dire ?

    Du jour au lendemain je me suis retrouvée épuisée, lourde et molle ; sans forces, éteinte, anéantie ; me voilà incapable de monter la toute petite pente de ma rue, encore moins les escaliers, je me traîne à grand peine, je passe de la taille 46 au 50.

    De surcroît, ces jolis petits comprimés roses ou en forme de coeur m'abrutissent, ils me transforment les neurones en glu et les méninges en gadoue, ils m'empêchent d'écrire une ligne, que ce soit pour mon courrier, mon blog, pour un article ou mes séminaires.

    Et je me surprends à fondre en larmes.

    Mais le pire reste à venir.

    Six mois plus tard, en mars 17, toujours sous traitement, toujours gourde, cruche, tourte, tartre, idiote, toujours nouille et empotée, je suis tombée et me suis cassé le bras.

    Cela n'a pas l'air bien méchant, mais, à cause de l'anticoagulant, le sang, devenu trop liquide, s'est répandu dans tout le bras, formant un énorme hématome de 40 cm, très douloureux.

    Je bénis le ciel de ne m'être pas cogné la tête contre l'armoire que j'ai frôlée en tombant. C'est ainsi que mon père est mort.

    Quand on constate l'hématome que j'ai eu au bras et la déchirure du muscle, il est évident que le choc sur la tête aurait entraîné...

    une hémorragie cérébrale...

    au mieux... la mort...

    ...au pire, le séjour en mort lente dans une maison pour handicapés, avec des frais que je ne puis assurer et mes enfants non plus.

    Je ne fais pas du mélo.

     

    Au contraire !

    J'ai appris à mes dépens que pour ce nouvel anticoagulant, il n'existe aucun contrôle de la viscosité sanguine et on ne dispose d'aucun antidote en cas d'hémorragie grave.

    J'ai aussi découvert avec effroi dans mon entourage plusieurs proches chez qui ce nouvel anticoagulant avait provoqué une grave hémorragie. Devant l'impossibilité de l'arrêter, les personnes ont du faire appel aux pompiers ; amenées d'urgence à l'hôpital elles se sont retrouvées avec un hématome géant, affaiblies et souffrantes.

     

    Bravo l'anticoagulant qui peut vous mettre en danger mortel !

     

    Je vous dirai clairement les sentiments que j'ai éprouvés devant ces dégâts.

    J'ai été révoltée de constater l'effet que ces produits ont exercé sur moi, sur mon organisme, jusqu'à le dénaturer et le détruire lentement.

    J'ai été effrayée de voir les mêmes ravages exercés sur d'autres autour de moi.

     

    J'ai lu sur les forums et les sites français ou américains des expériences navrantes et des avertissements

    J'ai entendu parler de médicament potentiellement criminel. Qui tient compte du principe de précaution ?

    Et pire, pour certains, il est question d'empoisonnement collectif.

    Empoisonnement collectif ? Parano ?

     

    Quoi qu'il en soit, pour mon humble personne, j'ai été épouvantée !

    Oui, épouvantée !

    Je suis la gardienne de mon corps et mon premier devoir est de le respecter et de le soigner correctement pour qu'il me porte et me permette d'accomplir ce que la vie attend de moi.

    J'ai donc repris le soin de ma santé en mains.

    De ma propre initiative, et en toute conscience, j'ai décidé de cesser d'être empoisonnée sournoisement, j'ai décidé d'arrêter très doucement et très progressivement le traitement prescrit.

    La question s'est posée alors : comment faire maintenant pour me soigner ?

    Et c'est là que la merveille a eu lieu, la nuit, en rêve :

     

    Je suis chez le médecin, assise en face de lui à son bureau. Il a des papiers devant lui. Il me regarde et me dit :

    - Écoutez, Mme Riedel, nous gardons votre dossier, parce qu'il vous arrive toujours des trucs impossibles, mais vous vous en tirez toujours !

     

    Je me suis réveillée et j'ai pleuré de reconnaissance.

    Je n'avais pas la solution, c'était à moi de la trouver, mais je savais que je la trouverai et que je m'en sortirai.

    Je suis allée chez mon médecin traitant, je lui ai fait part de ma décision, je lui ai apporté une lettre où je la décharge de toute responsabilité.

    Elle s'est inquiétée.

    Mais j'avais ma réponse :

    - Docteur, il faut que vous sachiez, j'ai reçu un rêve, je sais que je vais m'en sortir.

    Je lui ai raconté mon rêve, je lui ai offert mon livre " Ces rêves qui protègent et qui guérissent".

    Et j'ai cherché un autre cardiologue.

    Guidée par des synchronicités, je l'ai trouvé. C'est un monsieur plein d'expérience, affable, courtois. Il m'a prescrit des médicaments traditionnels et éprouvés.

    Croyez-moi : en cinq jours, je n'avais plus rien. Oui en 5 jours.

    Un souvenir me reste :

    Je vois le cardiologue examinant l'électrocardiogramme qu'il vient de me faire et je l'entends s'exclamer, surpris, heureux :

    - Oh Mme Riedel, c'est miraculeux !

    Alors je lui ai raconté mon rêve et il a souri.