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Rechercher : Le Christ blessé

  • Amour et sexe dans vos rêves.

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    medium_couv.jpgPrésentation de l'éditeur :Continuatrice de l'œuvre de Jung, l'analyste Christiane Riedel signe ici un ouvrage de référence sur la compréhension des rêves touchant au thème universel de la sexualité. Résultat de trente années de pratique d'analyses de ses patients "rêveurs", ce livre est un outil remarquable pour aider chacun de vous à l'interprétation de vos propres symboles, livrés par votre inconscient au détour de vos nuits. Toutes les interprétations des 126 rêves étudiés ont été validées par leurs rêveurs. Ce livre, agrémenté d'une soixantaine d'illustrations, a été écrit pour vous raconter ce que disent vos rêves quand ils vous parlent d'amour: infiniment bienveillants, ils savent ce dont vous avez besoin et vous l'indiquent sous de multiples images, inlassablement, jusqu'à se frayer un chemin dans votre conscience. Nantis d'une nouvelle connaissance de vous-même, vous saurez ainsi orienter votre vie amoureuse dans le bon sens et continuer ou repartir sur des bases saines et solides. Dans une première partie, vous découvrirez comment le rêve vous parle de votre sexualité: ici, paradoxalement, n'apparaissent pas des images sexuelles, mais des images d'objets (bougie, clef, robinet, chaussures, panier...) d'animaux, d'aliments, de plantes ou de lieux (pièces de la maison, paysages naturels, magasins...), et ce, dans les rêves des hommes comme des femmes. La seconde partie vous expose comment le rêve vous guide dans un processus de transformation et d'harmonisation intérieures: vous comprendrez alors le symbolisme des parties sexuelles du corps, celui des types de femmes (épouse, mère, patronne...) et d'hommes (artiste, militaire, père...), le sens des différents scénarios amoureux (positions variées, homosexualité, inceste...), et de toutes sortes de contacts, les caresses les plus tendres ou les agressions. Vous verrez ainsi, nuit après nuit, le rêve venir vous initier à une dimension plus spirituelle de la vie sexuelle. Comme le dit le Dr Gérard Leleu dans sa belle préface à cet ouvrage, Christiane Riedel aborde ici la sexualité " avec infiniment de respect, de poésie, en lui donnant sens et dimension", ravi de retrouver ici une méthode pratique dédiée à l'amour, afin que, par le truchement exquis du rêve, les êtres " fassent l'amour divinement".Biographie de l'auteur :Après l'étude de l'interprétation des rêves dans de nombreuses écoles, aux Etats-Unis, à Berlin et à Paris, Christiane Riedel a fondé en 1991 sa propre école "Rêves à Vivre", suivie, en 2004, de l'Académie pour l'Interprétation et l'Intégration des Rêves dans la Vie Quotidienne, où elle enseigne et donne des consultations. Elle est aussi l'auteur de " Rêves à Vivre" et de " La maison dans les Rêves".Le préfacier :Médecin sexologue, le Dr Gérard Leleu est l'auteur du best-seller "Le traité des caresses" et de nombreux autres livres comme "L'intimité et le couple", "La caresse de Vénus", "Le traité du désir", "Sexualité, la voie sacrée"..., tous dédiés au couple, à ses problèmes et... à son plaisir.La préface du docteur Gérard Leleu :"C’est vraiment un regard neuf qu’apporte Christiane Riedel sur la compréhension des rêves. D’abord en sortant le rêve du purgatoire où l’avait mis Freud : un lieu obscur et terrifiant où, après avoir été « refoulés », nos pulsions fomentaient quelques mauvais coups à faire en surface. Selon elle l’activité onirique est une activité naturelle qui appartient bien plus à une sphère bienveillante, lumineuse voire divine, une activité qui fait des rêves nos alliés. A preuve, il suffit de lui soumettre le problème qui nous préoccupe pour que, sous forme d’images, elle nous offre une réponse dans les nuits qui suivent. Cela vous paraît magique, voire miraculeux ? Après avoir lu ce livre, vous verrez que c’est tout à fait logique.Car logique est la démarche de Christiane Riedel : elle se veut rationnelle et rigoureuse et veut tirer ses interprétations des faits, de leur analyse, dans un esprit scientifique et cohérent. Ainsi elle se situe dans la phénoménologie, ce qui la différencie des magiciens et des charlatans qui eux prétendent savoir interpréter les rêves mais ne font qu’appliquer des grilles de lecture aussi systématiques qu’impersonnelles. Ce qui la différencie aussi des psychothérapeutes qui eux interprètent en fonction de théories psychanalytiques dont beaucoup se révèlent contestables voire franchement erronées.Christiane Riedel se refuse à plaquer des interprétations « prêtes à l’emploi », liant telle image, tel scénario à telle signification. Pour elle la même image peut avoir de multiples sens et il faut trouver le sens qui correspond au rêveur. Car le rêve est inséparable du rêveur.Elle travaille sans grille, sa méthode c’est « l’interview » qui consiste à interroger la personne sur le sens de chaque mot qu’elle emploie et à l’acheminer vers sa propre signification en fonction de sa personnalité et de sa situation. Elle n’affirme pas, elle suggère à peine ; conduisant les déductions, elle accouche. Elle pratique la maïeutique.Christiane Riedel démonte magistralement la notion de complexe d’oedipe. L’erreur fondamentale de Freud est d’avoir interprété de façon erronée la tragédie de Sophocle et ensuite d’en avoir déduit que le fils désire faire l’amour à sa mère. Ce qui a pourri depuis lors toutes les réflexions sur les relations entre garçon et mère et plus généralement entre enfant et parents, et dévié toutes les interprétations des rêves où la mère apparaît. Elle remarque plus généralement que la psychanalyse en se bloquant voire en s’obsédant sur la séquence de l’enfance enferme le travail d’évolution à faire. Christiane Riedel parle bien de la bipolarité qui fait qu’en chaque être existent un pôle féminin et un pôle masculin. Elle montre que chacun au lieu d’épanouir sa femme intérieure ou son homme intérieur va chercher à l’extérieur la qualité du sexe opposé que pourtant il a en soi. La femme, par exemple, pourtant pourvue d’une part masculine se projette sur un homme extérieur et vit sa masculinité à travers cet homme, restant ainsi passive au lieu d’affirmer sa propre masculinité. Faire vivre ses deux pôles et les faire se marier, c’est cela accomplir la réalisation de soi, c'est-à-dire accéder à l’indépendance et à une pleine créativité. Or à propos de nos pôles et de leur accomplissement les rêves ont beaucoup à nous dire. Toute la démonstration de Christiane Riedel est étayée sur l’exposé de plusieurs dizaines de rêves et leur analyse, une connaissance éblouissante de l’âme humaine et une immense culture qui lui permet de faire appel à tous les grands auteurs de l’Humanité, ce qu’elle fait non pour exhiber ce qu’elle sait, ni même pour illustrer ce qu’elle dit mais pour confirmer, démontrer. Et l’on est étonné de constater que tous les grands esprits avaient quelque chose de précieux à dire sur les rêves et qu’ils leur accordaient une importance majeure.Bien entendu le plus novateur, le plus juste, le plus utile, selon moi, dans cette société où l’activité sexuelle n’est sortie de l’enfer du pêché et de la honte que pour entrer dans l’enfer de la chosification et de la mécanisation, c’est qu’elle aborde la sexualité dans le rêve avec infiniment de respect, de poésie, en lui donnant sens et dimension. L’acte sexuel est un acte sacré, la communion des corps mène à l’union des âmes et permet l’accès au divin. L’orgasme est le vécu dans le corps de l’extase qui anime l’âme. C’est en cela que l’union amoureuse est une expérience paradoxale : elle est faite d’un instinct animal et d’une envolée de l’âme. Ici Christiane Riedel retrouve les grandes traditions orientales pour qui faire l’amour c’est faire le « grand Tout », l’Unité, c’est recréer la Divinité. Mais pour amener les Occidentaux à donner un sens à l’érotisme il faut lutter contre vingt siècles de répression de la sexualité, d’abaissement du plaisir charnel, situé du côté du diable et non du divin. Sans aucun fondement du reste car Christ n’a jamais médit de l’amour charnel.Le divin, dit Christiane Riedel, on ne peut rien en dire nous les humains. On ne peut que le saisir à travers l’émotion – celle, entre autres, des rêves : « Dieu, écrit-elle, ne se prouve pas, il s’éprouve ». Elle rejoint ici Jung qui affirmait que sa foi ne devait rien à la théologie mais relevait du ressenti et de l’intuition.Le livre se termine par un rêve fabuleux dont la conclusion est le couronnement du travail de Christiane Riedel : « Depuis ce rêve, dit la rêveuse, je ne fais plus l’amour de la même façon. » Cette jeune femme avait saisi la dimension sacrée de l’union sexuelle.J’ai reconnu en Christiane Riedel une jumelle, une sœur d’âme car toute ma vie j’ai rêvé, plume à la main, que les êtres fassent l’amour divinement". Docteur Gérard LeleuVous pouvez me contacter ICI.Académie pour l'Interprétation et l'Intégration des Rêves dans la Vie Quotidienne.

  • LA TRAHISON DE ST JEROME

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    Saint Jérôme  (340-420) est connu comme un des docteurs de l'Eglise et son œuvre exerça une influence immense. Il fit beaucoup pour populariser le mouvement monastique et l'ascétisme, et surtout, le cadeau monumental qu'il fit à l'Eglise fut de traduire en latin la Bible écrite alors en hébreu et en grec. Cette Bible en latin fut appelée la Vulgate, ce qui veut dire « version répandue ».

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    incunabula1.jpg    Jérôme naquit dans une riche famille chrétienne. Il fit de solides études à Rome, était très épris de culture classique et connaissait tous les grands écrivains latins dont il s'était constitué une magnifique bibliothèque. Il avait en fait recopié lui même tous les textes à la main. Il commença une carrière littéraire et forma avec ses amis un groupe qui s'orientait vers la vie chrétienne monastique.

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    Cet intellectuel se trouvait entre deux cultures, la culture latine et la culture chrétienne. Mais il manifestait un enthousiasme incontestable pour les poètes, les philosophes et les orateurs latins, il vouait en particulier une admiration sans bornes au célèbre avocat romain, l'écrivain Cicéron.

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    En revanche, la Bible lui paraissait un livre brutal et grossier en comparaison du raffinement intellectuel de la prestigieuse culture latine. Ce fut alors que sa vie fut totalement bouleversée par un rêve. A cette époque, il se trouvait à Antioche où, au cours d'une maladie où il faillit mourir, il reçut un rêve terrible qu'il raconta dans une de ses lettres.

    Le voici :

     

    Rêve

     « Je fus soudain emporté en esprit et traîné devant le trône du jugement du Juge.

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    trone_thorin.jpgEt là, la lumière était si brillante, ceux qui se tenaient à l'entour étaient si radieux que je me jetai à terre sans pouvoir regarder.

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    On me demanda qui j'étais  et je répondis :

    «Je suis chrétien ». Mais celui qui présidait répliqua :

    «Tu mens, tu es un disciple de Cicéron et non du Christ. Car là où est ton trésor, là se trouve aussi ton cœur. »

    Sur l'instant je devins muet. Il ordonna que je sois fouetté, lumière.JPG

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    et, en recevant les coups de fouet, je fus torturé plus terriblement encore par le feu de la conscience. Je pensai en moi même à la parole : « Qui va me faire grâce quand je suis au fond de la tombe ? »

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    A cause de tout cela je me mis à pleurer et à me lamenter, m'écriant :

    « Aie pitié de moi, ô Seigneur, aie pitié de moi à cause de ma jeunesse. »

    Mes cris se firent entendre même à travers les coups de fouet. A la fin, tous ceux qui se trouvaient là tombèrent à genoux devant Celui qui présidait et Le supplièrent d'avoir pitié de ma jeunesse et de me donner encore du temps pour me repentir de mes erreurs. Ils insistèrent en disant qu'Il pourrait m'infliger un supplice si jamais je me remettais à lire les œuvres des païens. J'en fis donc le serment et j'invoquai son nom par ces mots : « Seigneur, ce serait te renier, si jamais je me trouvais de nouveau en possession de livres de ce monde, ou si jamais j'en lisais. » Je fus congédié après avoir fait ce serment,

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     je retournai dans le monde d'en haut, et, à la surprise générale, quand j'ouvris les yeux, ils étaient si rempli de larmes que même les plus incrédules furent convaincus de ma détresse...

    Je professe que mes épaules étaient devenues bleu - noir, que je sentis les coups encore longtemps après mon réveil et que depuis lors j'ai lu les livres de Dieu avec plus de zèle que je n'en avais mis pour lire les livres des hommes. »

     

    Peu après, Jérôme se rendit au désert en ermite puis poursuivit sa vie dans l'étude. Il connaissait le grec, il apprit l'hébreu et se lança alors dans l'énorme travail qui fut de traduire la Bible en latin.

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    Et c'est dans plusieurs de ses traductions qu'on se demande si la terrible expérience de son rêve ne l'aurait pas influencé.

    Regardons en effet deux exemples :

     

    Dans le livre du Lévitique on peut lire dans le texte hébreu au chapitre 19, verset 26 l'ordre suivant :

    « Vous ne mangerez rien avec du sang, vous n'observerez ni les serpents ni les nuages pour en tirer des pronostics. »

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    Jérôme a traduit : « Vous ne mangerez rien avec le sang. Vous ne consulterez point les augures, et vous n'observerez pas les rêves. »

     Où est-il question des rêves dans le texte original ? Jérôme les a introduits, alors que rien ne le justifie.

     

    Au livre du Deutéronome, chapitre 18, verset 10, on lit dans le texte hébreu :

    « Qu'on ne trouve chez toi personne pour consulter les oracles, pratiquer l'incantation, la divination, les enchantements et les charmes, interroger les revenants et les esprits ou consulter les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel. »

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    Jérôme a traduit là encore : « ...Qu'il ne se trouve personne qui interroge des devins, et qui observe les songes et les augures, ni qui use de maléfices, ni qui soit enchanteur, ni qui consulte ceux qui consultent les esprits de pythons et les devins ou qui demandent aux morts la vérité. »

    Dans ce passage aussi, le traducteur falsifie le texte d'origine comme dans le livre du Lévitique, et l'expression : consulter les oracles est traduite par : observer les songes et les augures.

     Ainsi, quand, de son côté, l'écrivain biblique condamne les pratiques de nécromancie et de magie noire, Saint Jérôme, lui, fait l'amalgame avec l'interprétation des rêves, l'introduit dans le texte alors qu'il n'en est nullement question. Cette traduction fausse jette ainsi sur les rêves une condamnation qui entraîne leur rejet.

    Cette falsification n'a pas eu lieu dans les traductions modernes, refaites depuis la Vulgate. Cependant les interdits jetés par Jérôme firent leur œuvre pendant des  siècles et règnent encore aujourd'hui, où les rêves sont considérés par beaucoup comme une démarche plus ou moins sulfureuse. N'ai je pas entendu dire par des gens bien pensants et bien placés que le rêve était diabolique ?

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    Je me suis même entendu dire par un pasteur protestant que j'étais une sorcière parce que j'interprétais les rêves. Il était un homme charmant et cultivé. Et quand même !

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     Que s'est-il passé avec saint Jérôme ? Aurait-il gardé un effroi ineffaçable de son terrible rêve ? Serait-ce pour cette raison qu'il aurait rejeté les rêves en bloc, parce que le sien lui était insupportable ? Cherchait-il à se justifier de rejeter son rêve en le traitant comme une mancie païenne condamnée par la Bible ?

    Quoiqu'il en soit, il demeure le fait exact et vérifiable qu'il a falsifié les textes et condamné volontairement le rêve, alors que la Bible ne le fait pas. Au contraire, la Bible est remplie de récits de rêves, ce que Jérôme savait pertinemment, puisqu'il les a traduits. N'est-on pas en droit de considérer cette traduction frauduleuse comme une imposture spirituelle ?

    C'est ainsi que pour des siècles à venir, le rêve, qui jusqu'au premiers siècles après J-C  se trouvait au centre de la vie spirituelle, a été ravalé d'un coup au rang de magie noire, au rang de toutes les pratiques interdites, parce qu'elles détournent de l'écoute du dieu intérieur, alors que, justement, le rêve est la voix du divin, le divin s'exprime par le truchement des rêves.

     C'est ce que Carl Gustav Jung a rappelé dans les dernières lignes qu'il a écrites tout à la fin de sa vie, après avoir interprété plus de 80.000 rêves :

     « Nous avons oublié ce fait de notoriété millénaire que Dieu parle surtout dans les rêves et dans les visions. Voilà pourquoi l'on se plaint de façon générale que Dieu ne parle plus aux hommes comme il le faisait autrefois...ON NE L'ECOUTE PLUS ! » (1)

     

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    Bibliographie

    (1) St Jérôme, lettre 22 à Eustochium

    (2) L'homme et ses symboles - Chapitre « La guérison de la dissociation », p. 101 et 102. Carl Gustav Jung, éd. Robert Laffont, 1964

     

    Illustrations

    Je remercie les artistes et les photographes dont les œuvres m'ont permis d'illustrer mon blog.

    Eglise à Antioche :www.alpesexploration.com

    Ascétisme chrétien : idata.over-blog.com

    Canyon, USA, http://image-photos.linternaute.com

    Trône : http://elbakin.net

    Arrivée au paradis de Jérôme Bosch

    Lumière : Sunray, http://lesaindessaints.org

    Main : http://acce121.mettre-put-idata.overblog.com

    Jugement : le retable d'Issenheim du peintre allemand  Mathias Grünewald, 1515

    Congédié :http://www.ludibag.net

    Les peines des damnés de l'Enfer du peintre italien Giovani da Modena, 1410

    Désert :http://www.ictusvoyages.com

    St Jérôme dans le désert : tableau du peintre français Joachim Patenier, 1487-1524

    Serpent : http://www.routard.com

    Langue de serpent : http://www.dinosoria.com

    Nuage :http://www.galileo-web.com

    Nuage : http://www.naturepikel.com

    Revenants : http://4bp.blogspot.com

    Fantôme : http://76.img.v4.skyrock.net

    Consulter les oracles :http://www.etredelumiere.fr

    Les peines des damnés en enfer : Giovani da Modena, 1512

    Le sabbat des sorcières : 1797, tableau du peintre espagnol Goya

    St Jérôme, 1524, tableau de van Cleve