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Rechercher : pied de biche

  • SOUVENIR, Ô SOUVENIR, SAPEURS ET MUSCLOR

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    Voici le moment où toute la France se souvient du 7 janvier 2015 où des djihadistes tuèrent plusieurs journalistes du journal Charlie Hebdo. Ce jour là, Hermione, consternée, cherche à comprendre ce qui se passe et, dans la nuit, elle reçoit le rêve suivant.

     

    Rêve

    Il y a des gens partout allongés sur la plage mais aussi jusque sur les trottoirs, certains adossés contre des murets.

    Quelqu'un, une voix dit :

    « Les sapeurs arrivent ».

    Arrive alors un groupe d'hommes, en maillot de bain et aux muscles gonflés.

    A ce moment là, d'un geste machinal, les hommes comme les femmes, toutes les personnes allongées, portent la main sous les aisselles et sur le pubis, pour vérifier qu'elles sont bien épilées.

    Je me dis: nan ! C'est pas vrai ! C'est comme une caricature, ces types vont passer de l'un à l'autre comme si tout cela était entendu.

    J'en reviens pas, tous ces gens, les hommes, les femmes, sont prêts à se faire enfiler, sans rien dire !

     

    Quel rêve ! Voyons l'interprétation.

     

    Il y a des gens partout allongés sur la plage mais aussi jusque sur les trottoirs, certains adossés contre des murets.

    Le rêve représente là des gens oisifs qui prennent des vacances ou du bon temps dans le quotidien. Ils ne sont ni debout, ni actifs, ni battants.

    Pour notre rêveuse, cette image décrit la vie tranquille et agréable que l'on connait souvent dans notre douce France.

     

    Quelqu'un, une voix dit :

    La voix qui s'exprime dans les rêves détient l'autorité. Ici, elle annonce ce qui est en train de se passer.

     

    « Les sapeurs arrivent ».

    Le verbe saper signifie détruire les assises d’une construction pour la faire s’écrouler, en attaquer les fondements, les principes, pour les ruiner.

    L'image indique donc l'arrivée d'un grand danger de destruction par la base.

    Il convient maintenant de mettre cette image en rapport avec la précédente :

    C'est parce que l'on s'occupe en douce France à savourer une vie paisible, dans les loisirs et les vacances, que surgissent tout à coup des hommes qui ont pour but de détruire cette vie de plaisir.

    Voilà l'image que reçoit la rêveuse, la nuit du 7 janvier 16, voilà l'avis du rêve sur l'attentat qui vient d'avoir lieu et qui sera suivi d'autres dès le lendemain.

    S'attaquer à des gens qui prennent du plaisir à vivre, c'est bien aussi ce qui s'est passé lors des tueries du 13 novembre à Paris.

     

    A ce moment là, d'un geste machinal, les hommes comme les femmes, toutes les personnes allongées, portent la main sous les aisselles et sur le pubis, pour vérifier qu'elles sont bien épilées.

    Étonnant : personne ne se lève, tous les gens restent allongés. Ce qui leur importe, c'est d'être bien épilé.

    Que signifie cette image d'épilation ?

    Les poils, c'est laid, ça fait désordre, ça peut aussi sentir mauvais. Ils représentent le côté instinctif de la vie, le côté sauvage et non domestiqué de l’humain. Ils évoquent souvent la virilité et le courage, dont ont fait preuve par exemple les célèbres poilus, les soldats de la première guerre mondiale.

    Les aisselles désignent la cavité où l’on transpire quand quelque chose est pénible et vous fait suer. Ici toute réaction instinctive quand un ennui vous fait suer, toute manifestation négative, disgracieuse, est supprimée.

    Le pubis correspond au lieu de rencontre entre deux sexes. Quand il est épilé il est lisse et doux et ne présente plus aucune résistance au contact, ce qui intensifie le plaisir.

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    Pour les gens dans le rêve, une épilation intégrale s'impose, ce qui traduit une volonté d'être impeccable, irréprochable. Voilà une recherche de perfectionisme selon une norme établie qui pourrait faire penser à la pensée unique.

    Dans l'optique de l'inconscient, les gens du rêve, les Français, au début de 2015, ont donc l'idée ou le sentiment que ce qui est naturel, spontané, instinctif, est inacceptable. Cela se marque en dernière analyse par un manque d'estime de soi (1). Ils se doivent d'être doux, agréables, sans résistance et de faire en sorte que toute personne qui les contacte n'éprouve que du plaisir. 

    C'est vraiment être amour.

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    A quoi cela fait-il penser dans le monde intérieur de la rêveuse et dans le monde extérieur ?

    En ce qui la concerne, Hermione comprend qu'elle est trop bonne. Et en ce qui concerne le monde extérieur, qu'en pensez-vous ?

    Je me dis : nan ! C'est pas vrai ! C'est comme une caricature, ces types vont passer de l'un à l'autre comme si tout cela était entendu.

    J'en reviens pas, tous ces gens, les hommes, les femmes, sont prêts à se faire enfiler, sans rien dire !

     

    Commentaire

    La nuit du 6 janvier 2015, le rêve vient alerter Hermione d'une situation qui s'installe et dont elle doit prendre conscience. Il lui montre sa propre attitude, qui est aussi celle de son entourage. Trop de douceur, de bonté, une volonté de perfectionisme, un manque d'estime de soi qui font que l'on se fait abuser et qu'on ne s'oppose à aucun abus.

    Elle reçoit ce rêve au moment des attentats, quand surgissent des bandes organisées, les sapeurs, qui ont pour but de détruire les bases de notre société, les sources de notre civilisation, ses fondations, ses mémoires, ses structures, ses coutumes, ses traditions, sa culture.

     

    Le rêve décrit ces hommes de façon curieuse :

    ils ont des muscles gonflés.

    Cette expression péjorative indique que ces sapeurs sont adeptes de la gonflette, ils n'ont pas du vrai muscle naturel, mais ils ont pris toutes sortes de produits et se sont entrainés pour se donner de gros muscles artificiels.

     

    Depuis, un an s'est écoulé. L'alerte du rêve s'est-elle avérée exacte ? Je vous laisse en décider.

    En tous cas, cette description que je vous présente en début d'année 2016 est vraiment, vraiment, vraiment désespérante...

    N'y a-t-il aucune solution ?

     

    Qui sera assez musclé pour combattre ces sapeurs de notre civilisation ?

     

    La Providence, la synchronicité ou la bien nommée Sainte Chronicité, comme l'appelait Etienne Perrot (2), s'est penchée vers moi et m'a apporté pour vous la réponse.

    Je viens de la trouver dans ma boite mail. Et c'est un rêve !

    Daniel, que je ne connais pas, s'intéresse aux rêves et à lit mon blog. Il m'écrit :

    "Je vais vous faire part d'un rêve que j'ai eu il y a 2 semaines. Très court."

    Je remarque que Daniel a reçu ce rêve vers le 14 décembre. Il a du donc probablement lire mon étude du 12 où je présente 2 rêves et une vision où le Christ apparait en battant, en guerrier, l'épée à la main. Voici son rêve.


    Rêve

    "Je vois le Christ sur la croix agonisant.

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    Puis je vois Ses Bras sortir de la croix, et là, il montre Ses Biceps. Puis, le Christ se transforme en "Musclor", un être fait que de muscle hyper musclé, mais avec la même tête."

    Et Daniel conclut :

    "J'ai compris le message de mon âme à travers mon subconscient : que je montre ma force quand il le faut.

    Et d'une façon plus générale, que les chrétiens n'hésitent pas à affirmer leur foi, leur force.

    Par deux fois, j’ai mis en application le message de ce rêve. Dans les deux cas, j’ai été très ferme dans ces conflits, en gardant l’image du Christ comme allié.

    Grâce au ciel, cela a été très positif. Sans aucune haine, j’ai défendu mes positions. Et depuis, c’est la paix."

     

    Le Christ crucifié, mourant, n'a pas perdu sa force. Il retrouve toute sa vigueur dans la force de son bras et ses biceps costauds témoigne de son incarnation musclée.

    Ainsi Le Christ Musclor a aidé Daniel à lutter et à vaincre les obstacles.

    Ainsi son rêve est venu lui présenter le Christ sous une image d'un héros moderne fantastique, plus proche et familière que le Christ à l'épée.

     

    Au fait, vous connaissez Musclor ?

    Musclor est une figurine de jeu pour enfant qui a connu un grand succès, il est aussi le héros d'un dessin animé et d'un film " Les maitres de l'Univers".

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    En voici l'histoire :

    Le prince Adam est le protecteur du Chateau des Ombres au royaume d'Éternia. La population y est majoritiarement myope, et sourde ou alors très stupide. Skeletor, un sorcier au visage de squelette, possède une puissance terrifiante et s'est juré de prendre le Château des Ombres, afin de dominer l'Univers.

    Est-ce que cela ne semblerait pas la métaphore de ce que nous vivons actuellement ?

    Pour lutter contre Skeletor, le prince Adam se transforme en guerrier appelé Musclor et devient le dernier espoir du pays.

    Je vous propose 1 minute 12 de récréation enfantine avec la bande annonce du dessin animé :

    https://www.youtube.com/watch?v=dxQvAJ1Z4rs

     

    Conclusion

  • LE GÉNÉRAL PATTON EST UN HOMME QUI PRIE DIEU TOUS LES JOURS

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    Le général Patton est un homme qui prie Dieu tous les jours, sans se soucier des cadres religieux. Il est protestant épiscopalien, il connait très bien la Bible et va au culte le dimanche, il aime aussi aller prier à la messe ; il considère que la réincarnation est une réalité et pense qu' il fut guerrier dans l'Antiquité, ce qui, selon lui, lui a développé ses dons de stratège et ses dons psychiques de clairvoyance.

    En ces jours où Noël approche, je voudrais vous raconter comment, au Noël 1944, ce Général qui se moque des normes, va suivre sa voix intérieure et prier comme il le sent, avec ses mots, avec ses tripes, pour demander de l'aide pour libérer l'Europe de l'invasion nazie.

    Quelle aide ?

    Vous risquez d'avoir des surprises.

     

    La France vient d'être libérée par le général Patton, et les Armées Alliées sont à l'Est, dans les Ardennes, prêtes à envahir l'Allemagne. Depuis le mois de septembre 1944, la pluie tombe, incessante, et harcèle les soldats. La pluie, c'est la grande préocuppation, le tourment permanent du Général Patton.

    Le 8 décembre, à Nancy, le Général Patton déclare à l'aumônier de son armée :

    - Nous devons faire quelque chose si nous voulons gagner la guerre. Est-ce que vous avez une bonne prière pour le temps ?

    L'aumônier fait remarquer que ce n'est pas l'habitude de prier pour demander du beau temps pour aller ensuite tuer des hommes. Le Général rétorque :

    - Est-ce que vous êtes en train de me faire un cours de théologie ou est-ce que vous êtes l'aumônier de la troisième Armée ? Je veux une prière.

    L'aumônier rédige sur le champ une prière et la porte à Patton. La voici :

    "Père tout puissant et très miséricordieux, nous T'implorons humblement de bien vouloir, de par Ta grande bonté, restreindre ces pluies immodérées contre lesquelles nous avons eu à lutter. Veuille nous accorder un beau temps pour la bataille. Daigne prêter l'oreille à nos prières, nous les soldats qui t'invoquons pour que, armés par Ta puissance, nous puissions avancer de victoire en victoire, nous puissions écraser nos ennemis, les mettant hors d'état de poursuivre leur oppression et leur oeuvres perverses, pour que nous puission établir Ta justice parmi les hommes et les nations. Amen."

    Le général demande alors de tirer la prière en 250.000 exemplaires puis il dit à l'aumônier :

    - Asseyez-vous un instant, je veux vous parler de cette affaire de la prière.

    Je crois fortement en la prière.

    Il y a trois moyens pour que les hommes obtiennent ce qu'ils veulent. Ce sont en planifiant, en travaillant et en priant.

    Toute grande opération militaire nécessite une planification soigneuse, ou de la réflexion.

    Puis il vous faut alors des troupes bien entraînées pour mettre en exécution. C'est ce qui s'appelle travailler.

    Mais entre la planification et l'exécution il y a toujours une inconnue. Cette inconnue s'appelle défaite ou victoire, échec ou succès. Cette inconnue, c'est la façon dont les acteurs réagissent quand survient véritablement l'épreuve.

    Certains appellent ça pouvoir souffler pour reprendre des forces. Pour moi je l'appelle Dieu.

    Dieu a sa part, sa marge d'intervention en toute chose. C'est là que la prière entre en ligne de compte.

    Jusqu'à maintenant, dans la troisième armée, Dieu a été très bon avec nous. Nous n'avons jamais fait retraite, nous n'avons souffert d'aucune défaite, d'aucune famine, d'aucune épidémie. C'est parce que beaucoup de ceux que nous avons laissés à la maison, prient pour nous. Nous avons eu de la chance en Afrique, en Sicile et en Italie. C'est simplement parce que les gens ont prié pour nous.

    Mais nous, nous devons aussi prier pour nous-mêmes.

    Un bon soldat ne se fait pas seulement par la réflexion et le travail. Dans chaque soldat, il y a quelque chose qui descend plus profondément que ne le font la réflexion et le travail. Ce sont ses tripes.

    C'est quelque chose qu'il a développé à l'intérieur de lui. C'est un monde de vérité et de puissance qui le dépasse. Avoir une grande vie, ça n'est pas seulement fournir du rendement par la pensée et le travail. Il faut aussi que l'homme reçoive par une prise d'alimentation. Je ne sais pas comment vous appelez ça, mais moi j'appelle ça Religion, Prière ou Dieu."

    Patton poursuit :

    "Nous devons arriver à ce que non seulement les aumôniers prient, mais aussi tous les hommes de la Troisième Armée. Nous devons demander à Dieu d'arrêter ces pluies. Ces pluies sont la marge où se tient la victoire ou la défaite. Si nous prions, ce sera comme de se brancher sur un courant dont la source est au ciel."

     

    Le 14 décembre la prière est distribuée  aux troupes.

     

    Vers le 15 décembre 1944 le général Patton vient de se réveiller à 3 heures du matin avec un rêve (1) : il perçoit de façon intense que les troupes allemandes sont en train de lancer une offensive secrète pour aller s'emparer du port d'Anvers et priver ainsi les troupes américaines de leur ravitaillement. Les ennemis s'apprêtent donc à rompre les lignes alliées qui avancent dans les Ardennes. Le Général Eisenhower ignore tout du plan allemand, de même que ses services de renseignements.

    Patton, lui, à 3 heures du matin, dicte à son secrétaire toute la marche à suivre pour la contre-offensive. Il vient de voir clairement en rêve les images des opérations à mener. Il ordonne à une partie de ses troupes de se préparer à se mettre en route d'urgence.

     

    La pluie incessante a maintenant laissé place à la neige et la neige tombe en un rideau épais qui bloque tout, tout est blanc, le sol, l'air autour de soi, et le ciel au dessus. On ne voit rien, on n'entend rien, on n'arrive pas à avancer, on gèle.

     

    Le 16 décembre a lieu l'offensive allemande secrète dont Patton vient de rêver. Les Allemands surgissent de façon inattendue, la surprise est totale, ils avancent "comme une lame de couteau chaud dans une motte de beurre". Ils approchent la victoire.

    11.000 hommes de la 101ème Aéroportée sont dans le village de Bastogne pour défendre un noeud routier stratégique d'une importance vitale, qui permet de bloquer l'avancée des troupes allemandes. Ce point de résistance ne doit pas se rompre.

    Les soldats américains se retrouvent encerclés par 60.000 soldats allemands.

     

    Le 19 décembre, trois jours plus tard, Eisenhower apprend les nouvelles du front et prend conscience du danger. Très inquiet, il convoque ses généraux, Il demande à Patton d'envoyer des renforts à Bastogne. Patton promet de libérer Bastogne le jour de Noël, mais les conditions métérologiques effroyables empêchent toute avancée.

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    Pendant ce temps, les assiégés, sous le commandement du Général Mc Auliffe, se défendent héroïquement et attendent les renforts. Le temps épouvantable rend impossible tout ravitaillement aérien. Les hommes n'ont pas de vêtements d'hiver, manquent de tout, de munitions, de nourriture, de moyens médicaux.

     

    Le 22 décembre, le Général Mc Auliffe est sommé par le commandement allemand de se rendre. Il répond par un vigoureux et célèbre :

    " Nuts" ! qui veut bien dire :

    " Allez vous faire foutre !"

    Et Patton de son côté désespère de ne pouvoir lui porter secours.

     

    Le 23 décembre, à 50 km de Bastogne, il s'arrête à Luxembourg-Ville. Il entre dans la chapelle de la Fondation Pescator, s'avançe jusqu'au crucifix au dessus de l'autel, retire son casque avec ses 3 étoiles, se met à genoux et prie pour demander la victoire de ses troupes à Noël.

     

    Seigneur, c'est Patton qui Te parle.

    Ces derniers quinze jours ont été infernaux. Pluie, neige, encore plus de pluie, toujours plus de neige. Je commence à me demander ce qui se passe dans Ton quartier général. Dis-moi un peu, de quel côté Tu es ?

     

    Ca fait trois ans que les aumôniers de mon armée m'expliquent que nous menons une guerre sainte. Cette guerre, disent-ils, est une nouvelle croisade, sauf que nous sommes montés sur des tanks et pas sur des chevaux de bataille.

    Ils répètent avec insistance que nous avons traversé l'Atlantique pour anéantir l'armée allemande et cet athée d'Hitler, de façon à ce que l'Europe puisse retrouver la liberté de religion.

    Jusqu'à maintenant j'étais d'accord avec eux, car Tu nous as accordé Ta coopération sans réserve.

    Grâce à une mer calme et un ciel bleu en Afrique notre débarquement a été une énorme réussite et cela nous a aidé à éliminer Rommel.

    La campagne en Sicile fut relativement facile et Tu nous as fourni un temps excellent quand notre attaque blindée a traversé la France, la plus grand victoire militaire que tu m'aies accordée, et de loin.

    Tu m'as souvent donné d'excellents conseils quand, en tant que chef d'armées, j'avais des décisions difficiles à prendre, et Tu as fait tomber les unités allemandes dans mes pièges, ce qui a permis de les éliminer relativement aisément.

    Mais maintenant Tu paries sur un autre cheval . On dirait que que Tu as donné à von Rundstedt tous les passe-droits du règlement et franchement, il nous mis une sacrée branlée.

    Mon armée n'est ni entraînée, ni équipée pour faire la guerre en hiver. Et comme Tu le sais, ce temps convient mieux aux Esquimaux qu'à des cavaliers sudistes.

    Maintenant, Seigneur, je ne peux pas m'empêcher de penser que je T'ai off