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Rechercher : Dieu homme d'affaires

  • TROIS GRANDES CLÉS

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    FICHE 13

    COMMENT APPROFONDIR LE TRAVAIL DE DÉCHIFFRAGE

    POUR UN OBJET

     

    TROIS GRANDES CLÉS

     

    Comme promis, voici aujourd’hui une fiche d'approfondissement et vous allez bientôt avoir entre les mains

    DES CLÉS, DES CLÉS ET ENCORE DES CLÉS

    Je vous explique trois clés indispensables et étonnantes. La recherche des détails peut donner des résultats surprenants

    CLĖ 1

    AIDER LE RÊVEUR À DÉFINIR OU CARACTÉRISER L'OBJET

    Quand vous commencez l'enquête, vous posez la question n°1 :

    "Qu'est-ce que c'est ?" et vous cherchez à obtenir la définition de l'objet ou quelques caractéristiques.

    L'interlocuteur est souvent mal à l'aise, surtout s'il est un homme et vous obtiendrez une réponse agacée du genre suivant :

    - Une voiture ? Qu'est-ce que c'est ? C'est une voiture quoi ! C'est un véhicule".

    Vous pouvez alors obtenir des précisions en amenant le rêveur à trouver les différences :

    a) par rapport à un élément du même genre :

    Ex : Oui, c'est un véhicule, mais par rapport à un avion, qui est aussi un véhicule, dîtes-moi où est la différence ?

    L'avion se déplace dans les airs, la voiture se déplace sur le sol.

    - Et par rapport à un autobus ?

    La voiture est un moyen de transport individuel.

    b) Vous demandez de définir par rapport à l'élément contraire :

    Ex : Pourriez-vous me dire qu'est que de la terre, par rapport à de l'eau ?

    La terre est un élément solide, on la tient dans ses mains ; l'eau est fluide, elle s'échappe des mains.

    Ex : Un appartement, qu'est-ce c'est ?

    - C'est un endroit où habitent les gens.

    - Entendu, mais une maison, c'est aussi un endroit où habitent les gens, où est la différence ?

    - On peut dire par exemple entre autres, que dans une maison on vit avec sa famille dans un cadre privé, indépendant, tandis que dans un appartement, on cotoie des voisins dans le cadre commun de l'immeuble.

     

    CLÉ 2

    POUR ACCÉDER AU SENS DE L'OBJET, CHERCHEZ LA MARQUE !

    Nous sommes en atelier et Danièle nous raconte son rêve :

                         Rêve n° 30 : Le camembert

     Je me trouve dans la rue avec une amie qui s’appelle aussi Danièle. Tout d’un coup mon amie  s’écroule,  comme vidée d’énergie. Je la porte dans mes bras et lui demande ce qui peut l’aider sans cette situation. Elle me répond: "Un camembert."

    Nous voilà amusées mais bien embarrassées. Bien sûr, le rêve peut très concrètement indiquer à Danièle de se nourrir de camembert et ce serait la première chose à faire. Mais peut-être y-a-t-il d’autres indications. Nous cherchons donc dans un jeu de questions et réponses :

    Q- Qu’est-ce qu’un camembert ?

    R- C’est un fromage rond ! Je ne l’aime pas trop.

    - Silence - Danièle ne sait pas quoi dire.

    Q- Oui, c’est un fromage rond, mais le brie aussi c’est un fromage rond, et le Bonbel a aussi une forme ronde. Tu peux nous préciser un peu?

    R- Oui, le camembert est un fromage qui a trop de goût. Moi, j’aime quand c’est du plâtre.

    Nous sommes perplexes !

    Je pose alors la grande question inattendue qui donne souvent des résultats surprenants :

    Q - Tu peux nous dire la marque du camembert ?

    Danièle répond sans hésitation: "Ah oui, c’est un camembert "Président" !

    Q - "Président" ? Tu peux nous expliquer en quoi tu te sens concernée par ce mot ?                                                       Voilà ! Le sens du camembert est là :

    Danièle nous explique qu'elle est de plus en plus appelée dans la vie à s’affirmer comme un leader, à défendre ou imposer ses points de vue avec autorité, à prendre des responsabilités, mais ce rôle ne lui plaît pas beaucoup. Elle n’aime pas ce qui est fort, elle préfère le plâtre. Elle manque encore de maturité. C’est pourtant en assumant la présidence qu’elle trouvera toute l’énergie nécessaire pour remplir les responsabilité qui lui sont confiées.

    président.jpg

    Pendant l’analyse, une autre rêveuse a éclaté de rire en pensant à "sa" marque de camembert. C’était un "Coeur de lion" et c’est vraiment ce qu’il lui fallait : se battre de tout son coeur avec courage.

                 Sans titre.jpg coeur de lion.jpg

    Le nom de la marque était le détail révélateur. D’autres marques de camembert étaient pourtant disponibles, comme : Le Rustique, Lepetit, Lanquetot.

    Cet exemple n’a rien d’exceptionnel. Il est étonnant de constater combien ce petit "truc" d’interprétation est une clé efficace.

    Comment cela se fait-il ?

    L'inconscient nous donne des images en rêve qui détiennent des informations. L'image est concentrée et en général ne montre pas tous les détails. Cependant, même si vous ne le savez pas, votre inconscient est bel et bien là quand vous interprétez votre rêve et il vous suit. Si vous lui demandez de vous aider par des informations plus précises, il vous répondra immédiatement.

    Alors, laissez monter, ne filtrez rien. Surtout, surtout, ne dîtes pas : «Oh non! C’est idiot, je ne vais pas dire ça !» Accueillez ce qui jaillit dans votre esprit, c’est la bonne réponse. Et puis, écoutez le dans la langue des oiseaux et vous allez avoir des surprises.

    Ce procédé est très précieux et valable pour n'importe quel symbole.

     

    CLÉ 3

    DÉROUILLEZ- VOUS LES MÉNINGES ET TROUVEZ LE SENS FIGURÉ

    Quand vous entendez le

  • ” JE SUIS AVEC VOUS TOUS LES JOURS...”...ET LES NUITS ?

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    « Je suis avec vous tous les jours… »

    ...Et... les nuits ?...

     

    Nous voici le jour de la fête l'Ascension, qui évoque les derniers moments que le Christ a passés sur terre avec ses disciples.

    - Mais oui, me direz-vous, votre titre est la dernière parole que le Christ a prononcée en quittant la terre !

    Il a dit :

    « - Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. »(1)

    - Oui, il a promis : tous les jours. »

     

    Après Pâques, après la Résurrection, il n'est pas malvenu de rappeler cette promesse,au moment de l'Ascension.

    Dali Ascension - Copie.jpg

     

    C'était il y a 2000 ans.

    Mais il convient de rappeler que cette promesse n'est pas nouvelle : elle a déjà été faite mille ans plus tôt, il y a 3000 ans, dans le fameux Psaume 23, connu sous le nom du Cantique du roi David, qui l'a écrit. (2)

    images.jpgle roi david.jpg

    Le cantique se termine par ces mots :

    « Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront

    Tous les jours de ma vie,

    Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel

    Jusqu'à la fin de mes jours. »

     

    Aujourd'hui, ce cantique est souvent repris en prière, il est aussi conseillé comme un mantra en méditation.

    Et ce cantique doit avoir sa place dans le monde intérieur, puisqu' il est même apparu dans un rêve qui m'a été confié.

    Trop beau !

    Je vous le raconte :

    Rêve n° 17 : Jusqu'à la fin de mes jours et...

    Il y a quelques années, une nuit, une rêveuse dans son rêve se voyait en train de prier, elle récitait le Cantique de David qu'elle connaissait par coeur. Elle en était au dernier verset et reprenait dans son rêve les antiques paroles d'il y a 3000 ans :

    « Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront

    Tous les jours de ma vie,

    Et j'habiterai dans la maison de l'Eternel

    Jusqu'à la fin de mes jours...
    quand une voix forte intervint immédiatement et proclama avec autorité :

    Et de mes nuits ! »

    La rêveuse se réveilla d'un coup, ahurie !

    «  Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel

    Jusqu'à la fin de mes jours

    Et de mes nuits. »

     

    Ainsi le rêve est venu ajouter son « grain de sel ».

    Mais le rêve a raison ! Sa remarque est tout à fait justifiée : la nuit aussi on habite dans la maison de l'Éternel.

    Et pourquoi pas ?

    Enfin, cela ne faisait aucun doute autrefois chez nos Anciens, puisqu'il est dit environ 250 fois dans la Bible que l'Eternel parle dans les rêves, parle dans la nuit.

    Et vous voyez bien que ce que racontaient nos ancêtres se vérifie toujours aujourd'hui.

    Vous en avez lu les preuves par exemple avec des rêves reçus au XIXème siècle, le rêve que reçut saint Jean Bosco en 1824 à l'age de 9 ans, (3) celui que reçut le pasteur Gordon toujours au XIXème siècle.(4)

    En voici un autre tout récent, reçu en notre XXIème siècle, deux cents ans après ceux de Bosco et Gordon.

    Je prends plaisir à vous transmettre le rêve formidable qu'une pasteure reçut il y a quelques années.

    Cette pasteure est Mme Marion Muller-Colard, dont je vous recommande les livres remarquables (5).

    marion.jpg

    J'admire la sincérité avec laquelle cette pasteure raconte ses expériences et j'admire aussi beaucoup son humilité.

    Mme Muller-Colard évoque ses pensées qui la désolent et la tourmentent, ses anxiétés qui la désespèrent au moment du rêve.

    Voici son rêve :

    Rêve n° 18 : Un regard d'amour sévère, un regard d'une tendre sévérité

    « Je marchais sur le chemin d'accès à notre maison, je voulais rentrer chez moi et devant moi marchait un homme que je savais être le Christ.

    Dans mon rêve comme dans la réalité, le chemin était pentu et difficile. Je le gravissais dans l'ombre, essoufflée, anxieuse. Après un virage en épingle qui coupe le raidillon, je dérapai dans un pierrier. Je n'avais plus la force de lutter. Tout juste celle de plaquer mon corps contre la pente, pour réprimer l'amorce de ma chute.

    Le Christ, que je n'avais vu jusqu'alors que de dos, se retourna. Je lui tendis la main et il rebroussa chemin pour venir jusqu'à moi.

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    Il m'empoigna par mon vêtement qu'il noua dans une torsion du poignet. Il me hissa sur le chemin et mes pieds retouvèrent un fiable adhérence avec le sol. Il me regarda profondément avant de lâcher mon vêtement et de reprendre sa route.

    Si je dis que son regard était sévère, on croira qu'il était dur. Si je dis qu'il était amour, on croira qu'il était mielleux.

    C'était un regard d'amour sévère. Un regard d'une tendre sévérité. Plus sûrement que son geste, c'est son regard qui me remit debout. Et ces paroles que j'entendis sans qu'il ouvre pourtant la bouche.

    - Je peux te sortir de là aussi souvent qu'il le faudra. Mais ce que je crois, c'est que toi, tu peux ne pas y aller. » (6)

     

    Quel rêve merveilleux !

    Tu peux ne pas y aller !

    Conseil plein de bon sens.

    « Tu peux ne pas y aller. »

    Cette rêveuse, est-ce que nous ne pouvons pas dire qu'elle nous représente, nous aussi ?

    Oui, nous sommes libres. Après tout, c'est bien nous qui avons le choix de nous laisser aller à de pernicieuses auto-contemplations, le choix de nous laisser tomber dans les complaisances toxiques de la délectation morose.

    Eviter ces états, c'est là une question d'hygiène mentale, de discipline personnelle.

    Voilà ce que nous enseigne le Christ dans ce rêve sublime.

     

    Vous venez ainsi de constater combien nous sommes toujours suivis par le rêve comme autrefois.

    Chez une rêveuse, le rêve aujourd'hui reprend avec justesse une affirmation d'il y a trois mille ans : c'est le rêve qui vient rajouter ce qui, à son avis, a été omis :

    «  Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel

    Jusqu'à la fin de mes jours

    Et de mes nuits.

    Nous sommes suivis au mot près.

     

    Chez une autre rêveuse, c'est Jésus qui, aujourd'hui comme il y a deux mille ans, reprend une attitude, redresse une défaillance, toujours avec justesse et amour.

    Et une fois encore le rêve nous fait comprendre que si nous choisissons de vivre en compagnie du divin en nous,

    nous sommes guidés

    au pas près,

    macrto_jesus_guide_mes_pas_m.jpg

     

    Guidés par la Puissance Divine,

    jusqu'à la fin de nos jours

    et de nos nuits.

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