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soeur emmanuelle

  • JEAN CLAUDE

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    Chers amis blogeuses et blogueurs,

     

    Il y a trois semaines je vous ai annoncé que Jean Claude Carton m’invitait sur sa web Tv « Etoiles du cœur ». Le 5 mars Jean Claude m’a accueillie avec beaucoup de gentillesse. J’ai passé deux heures très dynamiques et intéressantes dans son studio, interviewée par Franck Dumouilla. (1)J’ai embrassé Jean Claude en partant. Il m’a proposé de reprendre l’expérience en mai.

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    Je viens d’apprendre que Jean Claude n’est plus.

     Aujourd’hui, je voudrais rendre hommage à cet homme profond et simple dont le plus grand souci a été de se mettre au service des autres, pour les faire connaître. C’est ainsi que sur la radio « Ici et maintenant » il a interviewé plus de 3000 personnes. Depuis, il en a interviewé bien d’autres encore.

    Il a écrit un livre très vivant et attachant , où il raconte ses expériences : «  Oser l’impossible et le réaliser ».

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    J’y ai choisi pour vous deux extraits qui m’ont touchée. Vous verrez combien Jean Claude était simple et naturel quand il menait une interview.

    Le premier récit raconte sa rencontre avec Charles Aznavour. C’était la première interview de sa vie.

    « Je le suivis jusqu’à sa loge…Il m’invita à m’asseoir…puis s’assit à côté de moi :

    - Je suis prêt ; on y va ?

    Mon heure de vérité était arrivée. Sans détourner les yeux, je répondis :

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    - Charles Aznavour, je n’ai jamais interviewé qui que ce soit ; j’anime des émissions radio ; vous êtes mon premier interview !

    - Tout l’honneur est pour moi Jean Claude ! On y va ?…

    Alea jacta est !  J’enclenchai mon Nagra :

    - Bonjour Charles Aznavour ! Merci de me recevoir quelques minutes…avant votre spectacle…Avez-vous bien dormi cette nuit ?

    Regard étonné de Charles :

    - Coupez votre truc là ! Pourquoi me demandez-vous ça ?

    Je coupe le Nagra.

    - Parce que j’ai vu que vous aviez les yeux cernés et j’ai senti que vous aviez mal au dos !

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    - Personne ne m’a jamais posé ce genre de question ; rallumez votre appareil et reposez-moi la même question !

    L’interview dura cinquante minutes ;…Charles regarda l’horloge de sa loge…

    - Je n’ai pas vu le temps passer Jean-Claude ! C’était très agréable de répondre à quelqu’un qui vous écoute ; vos questions m’ont changé des questions habituelles… »

    Et Jean Claude conclut :

    « Je quittai Charles Aznavour dans un état second ; je n’avais pas compris cette intimité inhabituelle…J’en déduisis que ce devait être mon style…Regarder et écouter l’autre ; poser une question ; entendre la réponse et poser une autre question qui soit en résonance avec la réponse donnée. Trop de professionnels ont une série de questions et les posent comme des automates. » 

    Ce qui caractérisait Jean Claude, c’est qu’il s’intéressait vraiment à l’autre, il mettait du cœur dans ses questions.

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    Voici le second témoignage :

    «  Je me souviens de ma première rencontre avec sœur Emmanuelle. Elle donnait une conférence à Auch…

    La salle est bondée ; elle commence à parler avec une toute petite voix. Elle parle du Caire, et de sa vie… Elle demande une orange par semaine pour chacun des 25 000 enfants …pour un apport en vitamines.

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    Un groupe d’une dizaine de personnes ne l’écoute pas ; certaines parlent tout haut.

    Sœur Emmanuelle les regarde sans réagir.

    Je suis au premier rang en tant que « journaliste »… Je n’ai pas autant de patience qu’elle.

    Sans trop réfléchir je hausse la voix :

    - Vous pouvez fermer vos gueules ? Merci, s’il vous plait !

    Et soudain c’est la tempête.

    Le tsunami Emmanuelle déferle sur le groupe interloqué…La colère de Sœur Emmanuelle est une sainte colère…"

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    Jean Claude va la retrouver à l’entracte pour lui poser quelques questions. Sœur Emmanuelle lui demande de revenir à la fin.

    "Je la remercie d’accepter et lui dis :

    - Bénis moi ma sœur, s’il te plait, merci…

    - Tu es malade toi ! Qui suis-je pour te bénir ? Toi bénis-moi ; j’ai besoin de gens comme toi qui ont encore la capacité de s’indigner en public !"

    Elle me prend dans ses bras avec la tendresse d’une grand-mère…

     

    Jean Claude, le journaliste, parlait avec cœur, Jean Claude parlait avec authenticité.

     

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     Je reste remplie de reconnaissance envers Jean Claude pour tout ce qu’il nous a donné.

     

    Sur Internet

    (1) Vous pouvez écouter l’émission avec le lien suivant :

    https://www.youtube.com/user/etoilesducoeur/videos

     

    Illustrations

    Je remercie les photographes dont les œuvres m’ont permis d’illustrer mon blog.

    Jean Claude : oretpourpre.blogspot.com

    Jean Claude : antakarana.forumzen.com

    Charles Aznavour : artistdirect.com

     

     

    Jean Claude : edc.stardist.org

    Sœur Emmanuelle : don-de-vie.overblog.com

    Sœur Emmanuelle : gaelle-hautefort.com

    Jean Claude : wat-tv

     

     

  • LE RÊVE MEDECIN, CH. 4

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    SŒUR EMMANUELLE SE MASTURBAIT

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    Sœur Emmanuelle a décidé de faire publier après sa mort son livre « Confessions d’une religieuse ». Elle y raconte qu’elle se masturbait. Les médias se sont emparées de ce récit pour en faire une nouvelle à sensation. 

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     Le matin du 29 octobre 2008, j’ai lu sur Internet que 4193 articles ont déjà été écrits à ce sujet. Les réactions contradictoires se multiplient. Les uns approuvent chaleureusement, les autres réprouvent froidement. prêtre pur.jpg

     

    Oui, la masturbation, et surtout la masturbation féminine est un sujet encore tabou.
       
     

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    Regardons d’abord l’origine du mot : il est composé à partir de « manus » : main et de stupratio : action de souiller. Il apparaît dans la langue française en 1580, utilisé par l’écrivain Montaigne. Cependant cette activité n’a pas attendu le XVIème siècle pour être pratiquée. Elle est vielle comme l’être humain. Il s’impose d’évoquer rapidement dans l’antiquité grecque l’école des philosophes cyniques, 500 ans avant J. C. dont le plus célèbre représentant était Diogène, qui fut considéré comme un grand sage.

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    Ces philosophes préconisaient un retour total à la nature, dénonçaient les conventions et refusaient de se soumettre aux interdits qui relèvent de l’arbitraire social. Pour un Cynique, le plaisir que procure la sexualité est un plaisir naturel, instinctif, qui ne diffère en rien de celui que connaissent les animaux.

     

    On raconte qu’au deuxième siècle après J.C, le médecin philosophe Galien, le plus grand médecin grec avec Hippocrate, disait préférer la masturbation à l’union avec une courtisane.

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    Il justifiait sa position en expliquant que l’obligation d’une partenaire sexuelle, met l’individu dans la dépendance et par conséquent restreint son autonomie et sa liberté.
     

    La masturbation n’a été condamnée qu’assez récemment dans l’histoire de l’Occident. Le choix du verbe souiller indique bien cette notion de saleté, d’impureté, de péché.
    Pourquoi ? Mon propos n’est pas de vous faire l’historique de cette création du plaisir, pour pouvoir répondre à cette question.
    Je soulignerai avant tout le nombre de ceux, qui quand-même s’élèvent contre la condamnation de la masturbation et j’aime bien ce propos de Woody Allen :
    « Ne te moque pas de la masturbation. C’est faire l’amour avec quelqu’un qu’on aime. »

    Dans notre société actuelle, on ne tient compte que du point de vue conscient. On réfléchit, on pense, on analyse selon des normes imposées par des modes, des médias ou la tradition.
    Et que fait-on du point de vue de l’inconscient ? On rêve la moitié de sa vie, et l’on ne tient pas compte de ce côté de l’être ? C’est comme si une partie du monde prétendait dominer, gouverner l’autre, en ignorant son existence. Et c’est bien ce qui se passe, le conscient  ignore l’inconscient ou prétend le dominer.

     eclipse de soleil.jpgQue fait-on de la vie intérieure, la vie des émotions, sensations, ressentis, intuitions ? Que fait-on de la vie instinctive ? Cependant c’est bien là ce dont le rêve s’occupe, de façon à garder l’équilibre entre le conscient et l’inconscient.

     Le but de mon blog, c’est de vous présenter le point de vue de l’inconscient. Et puisqu’ aujourd’hui le sujet du plaisir individuel est à l’honneur, il serait bienvenu de savoir si rêve parle de la masturbation ? Et de quelle façon ?
    C’est ce que nous allons voir aujourd’hui. Le rêve que je vous présente maintenant est extrait de mon livre "Amour et Sexe dans vos Rêves", aux éditions Trajectoire.

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    Myriam a atteint la cinquantaine. Elle mène une vie professionnelle dans un milieu difficile, et une vie conjugale très problématique, parfois insupportable : son mari, ravagé par l’alcoolisme, a été mis en incapacité de travail. Elle se sent démunie et bien seule.
     

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     Elle reçoit un rêve qui la surprend et qu’elle voudrait bien comprendre. Elle me demande de le lui expliquer. Le voici :

     Rêve : La tartelette aux abricots

    Je me trouvais à une table, avec une fille qui m’agaçait profondément. Sur la table il y avait une tartelette aux abricots sous cellophane.
     Je n’étais pas contente, car la fille se servait en ayant découpé un petit bout de cellophane et en en prenant par en dessous.
    Je lui disais d’enlever le papier, de me découper un morceau et d’en offrir aux autres.

    tarte aux abricots.jpg

    Elle me répondait que c’était pour nous. Elle trouvait qu’il n’y avait pas besoin de partager avec d’autres puisque les autres d’ailleurs ne nous en offraient pas non plus.
    En se servant, elle a fait tomber des abricots par terre. Je m’attendais à ce qu’elle les ramasse. Eh bien non ! Elle les laisse par terre et ça m’a mise très en colère, car la tarte se trouve dégarnie et c’est une part que, moi, j’avais envie de manger.

     Interprétation

    Une fille qui m’agaçait profondément
    Pour la rêveuse, la fille du rêve a environ une trentaine d’années ; Myriam l’appelle une « fille »  parce qu’elle vit seule et indépendante. Cette fille désigne donc Myriam qui, malgré son apparente vie de couple, se trouve dans une profonde et douloureuse solitude. Fleur des champs.jpg

    Sur la table, il y avait une tartelette aux abricots
    Voilà une promesse de plaisir avec des fruits dorés, juteux, fondants, qui évoquent, pour Myriam, l’été, les vacances, la détente, le bonheur de vivre.
    Qu’est-ce donc que ces promesses de plaisir, quand elle se trouve avec une facette d’elle-même qui vit seule ?
    La rêveuse, très gênée, me répond que ce sont les douceurs de la masturbation.

    La fille avait découpé un petit bout de cellophane et se servait par en dessous.
    Je cherche les associations au sujet de la cellophane qui protège la tartelette. Qu’est-ce qui protège la tartelette ? Qu’est-ce qui se trouve par-dessus des caresses voluptueuses ?

     Mon-petit-doigt-m-a-dit_image_main_item.jpgEt que pensez-vous, ami lecteur, de ma situation d’interprète, quand je dois traduire cette image à la rêveuse ?  Eh bien ! Je fais mon travail courageusement, honnêtement : j’explique à Myriam que quand elle se sent le besoin de se masturber, elle n’ose pas s’accorder franchement du plaisir. Elle y va par en dessous. Au lieu de poser directement, ouvertement sa main en contact avec son corps, elle la glisse sous son slip. Elle n’ose pas se déshabiller, se mettre à l’aise pour prendre pleinement possession de son sexe et de tous ses trésors de jouissance.

    Myriam reconnaît avec une surprise mêlée d’embarras, l’exactitude de cette description. Elle me dit qu’elle me « trouve quand même un peu « gonflée » d’oser dire des trucs pareils. » Cependant, comme elle ne peut en nier l’exactitude, elle l’accepte de bonne grâce.

    La fille m’agaçait, je n’étais pas contente 
    Cette attitude gênée, coincée, manque de naturel et de droiture envers soi-même, et irrite la rêveuse.

     Je lui dis d’enlever le papier
    Myriam pense qu’il vaudrait mieux être authentique, se consacrer sans fausse retenue à sa sexualité, en prenant son temps, en s’offrant à elle même.  LaPerlaBlackLabel.jpg

    Je lui dis d’en offrir aux autres
    Ce serait agréable aussi d’avoir un partenaire avec qui partager cette délicieuse jouissance. draps poetmuse_ima.jpg

     

    Myriam aimerait faire l’amour avec son mari, elle ne voudrait pas rester seule dans ce moment de célébration du corps, elle voudrait lui donner aussi du plaisir à lui. Elle souffre de sa solitude. Pour elle, le véritable amour, c’est à deux. Cette idée la désole quand elle désire se faire l’amour à elle-même. 

     

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    La fille me répondait que la tartelette était pour nous. Il n’y avait pas besoin de partager avec d’autres, puisque les autres d’ailleurs ne nous en offraient pas non plus.
    La fille, qui vit seule et indépendante, proteste et déclare un autre point de vue. Le plaisir peut être consommé sans partenaire. Et elle justifie cette affirmation en expliquant que les autres, eux, n’offrent rien. En effet, notre rêveuse délaissée, ne reçoit plus d’offre amoureuse de son mari.
    Donc, selon le rêve, puisque Myriam ne reçoit rien de son mari, rien ne l’oblige à offrir lui quelque chose.  la perla.jpg

     En se servant, la fille a fait tomber des abricots par terre. Je m’attendais à ce qu’elle les ramasse. Eh bien non ! Elle les laisse par terre et ça me met très en colère, car la tarte se trouve dégarnie et c’est une part que, moi, j’avais envie de manger.
    La fin du rêve montre que la rêveuse se caresse mal : quand elle a mis le doigt sur le point sensible, au lieu d’exercer le mouvement, la pression convenable, pff ! elle s’arrête juste quand monte le crescendo du plaisir, elle ne poursuit pas sa caresse, elle laisse tomber, et pire, elle ne ramasse pas les abricots, elle n’y revient pas. Elle ne prend même pas le soin de stimuler le clitoris pour se conduire jusqu’à l’orgasme. Cette rupture fait retomber l’excitation et tout est perdu, bâclé, gâché !

    Bref, elle néglige, méprise, gaspille le plaisir qui lui revient et dont elle a besoin. Le rêve lui montre combien c’est irritant. Elle fait d’elle-même une femme frustrée, déçue, elle n’a pas atteint la détente que procure l’orgasme. Elle est en colère contre elle-même, et sur les nerfs. Elle devient nerveuse, tendue, irritable, insatisfaite.
    A qui la faute ?

    Myriam, en écoutant l’interprétation de son rêve a éclaté de rire, un rire joyeux, tonique, libéré. Son rire m’a fait plaisir et est venu me récompenser de mon interprétation que j’avais menée dans des conditions fort délicates.

     lingerie25.jpgVoilà donc un rêve qui conseille à la rêveuse d’assumer sa sexualité féminine. Cela ne veut pas dire se passer d’homme, mais savoir rester équilibrée, puisque l’homme est absent. L’orgasme ne passe pas obligatoirement et forcément par l’activité érotique masculine.
    Les rêves traduits par leur interprète vous disent ce que peu osent vous dire. Leurs images prosaïques vous donnent des explications détaillées et adéquates. Ils prennent soin de vous, connaissent vos besoins, vos difficultés, vos soucis et vos peines, ils savent comment vous aider. Ce sont eux les grands thérapeutes.

    Un médecin aujourd’hui, ose parler comme les rêves et leur interprète,  c’est le Dr Leleu, qui explique les bienfaits du plaisir, en particulier du plaisir clitoridien, il souligne :

    Les hautes vertus du plaisir de la caresse clitoridienne

    "Le plaisir que procure la caresse clitoridienne console les chagrins. Les femmes le savent bien qui recourent à cette caresse, quand un coup de cafard les atteint. Le plaisir apaise les tensions, l’énervement, le stress. C’est un excellent sédatif et un excellent somnifère. Il confère la bonne humeur. Il stimule l’énergie vitale et la créativité.

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    Les effets favorables sont à mettre au bénéfice des neurohormones, en particulier des endomorphines, qu’élaborent les centres cérébraux du plaisir : manger du chocolat… écouter de la « belle » musique, s’éclater dans un art ou dans un sport, prier avec transport et… faire l’amour ou se caresser.  Dans tous ces actes, la quantité d’endorphines du sang augmente. Dans le plaisir sexuel, non seulement elle croît mais, au moment de l’orgasme, elle atteint des pics inégalés par aucun autre plaisir. Quand vous vous rappellerez les vertus des endorphines, - véritable panacée - , vous aurez compris pourquoi la stimulation du clitoris vous fait tant de bien : ces substances sont antidouleur, antitristesse, anti-angoisse, antistress, euphorisantes et psychostimulantes." (1)

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    1) La caresse de Vénus, p. 58, Dr Gérard Leleu, éditions LEDUC.S

    Serait-ce là le secret du dynamisme de Sœur Emmanuelle ?
    Pour quelle raison devrait-on se priver de ce fortifiant naturel ?

    Le rêve de Myriam est clair et éloquent. Il lui montre qu’elle a besoin de ce plaisir et qu’elle doit accepter de vivre seule sa sexualité, puisqu’il n’y a plus d’échanges avec son mari malade.
     

    Le rêve est bien le médecin bienveillant qui s’occupe de votre santé et vous donne des conseils individuels, qui s’avèrent être les plus pertinents et les plus sages.

    Je reviendrai bientôt vous raconter d’autres rêves à ce même sujet qui viendront chacun apporter un avis nuancé et personnel.

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    Illustrations

    Je remercie les artistes et les photographes, dont les œuvres m’ont permis d’illustrer mon blog.
    - Les photos de femmes proviennent de la publicité pour la Lingerie La Perla.

    - Midsummer Eve de Sir Edward Robert Hugues