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interprétation des rêves - Page 22

  • AUJOURD'HUI, C'EST LA FÊTE DE LA MUSIQUE

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    Tout à l'heure je passe à côté de la nouvelle place du quartier du Bel Air où j'habite à St Germain-en Laye, dans les Yvelines, depuis bientôt 30 ans. Je vois une tente, une estrade, des instruments de musique...Ah mais oui ! Nous sommes le 21 juin, aujourd'hui, c'est la fête de la musique !

    La fête de la musique ? Mon Dieu, me coeur se serre,..ici, un jour, il y a 25 ans, ... la fête de la musique. J'ai parlé de cette journée sur mon blog, il y a 6 ans. En ce jour d'anniversaire, c'est bien le moment d'y revenir.

    Nous y voici :

    J’ai une amie, Michèle qui habite dans un quartier à problèmes, un quartier à risques. Les mégots, les crachats qu’on lui balance dessus, elle connaît ; les pneus crevés, les vitres de la voiture ou de l’appartement cassées, les cambriolages, elle connaît aussi. Mais c’est là qu’elle vit et elle fait avec.

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    Une nuit, elle a reçu le rêve que vous allez lire bientôt. Mais voyons d’abord dans quelles circonstances ce rêve est venu.

    Michèle travaille, mais le mercredi, elle reste à la maison pour garder son fils Benjamin, qui a une dizaine d’années. Aujourd’hui, en fin de matinée, elle part faire quelques courses et laisse le jeune garçon seul quelques instants dans l’appartement. Le super marché est tout près.

    La voilà qui revient et arrive dans le hall de l’immeuble.

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    Une flopée de gamins devant l’interphone s’envole quand elle arrive.

    - Tiens ? Qu’est-ce qu’ils font là ?

    Elle monte et entre dans son appartement.

    Benjamin est là, livide, décomposé.

    Elle se précipite :

    - Benjamin, qu’est-ce que t’as?

    - Maman, dit l’enfant tremblant, ils étaient tous là, ils ont sonné à la porte, ils m’ont dit :

    «  Descends, on est tous là, on t’attend, on a des marteaux et des chaînes, on va te tuer ! »

     

    Horreur !

    Michèle sent son sang se retourner, le monde se renverser.

    La douleur, le désespoir, l’envahissent. La rage, la fureur, la révolte la mordent à vif. Une haine terrible la saisit au ventre.

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    Une voix hurle en elle :

    - Non ! Non ! Ca ne se passera pas comme ça. Je ne laisserai jamais faire ça !

    Elle confie son fils à la voisine, ainsi il ne sera pas inquiété pendant son absence. Elle file au commissariat de police, raconte ce qui vient de se passer, demande l’aide d’un policier. Elle veut aller trouver tous les enfants pour leur expliquer que cela ne va pas du tout, mais elle a besoin du soutien de l’ordre public, elle a besoin du soutien d’un homme : dans son quartier, une femme, ça ne vaut rien.

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    Un policier l’accompagne, il la suit, il est fluet, il est menu, il ne dit rien, mais il représente l’ordre et la loi.

    Aujourd’hui, c’est le 21 juin, la fête de la musique. Il fait beau, tout le monde est dehors.

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    Michèle n’a pas mangé, elle va partout dans la Zup, elle interroge tout le monde, elle cherche les gamins qui ont promis la mort à son fils.

     

     

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    Elle questionne, recueille les indices, les noms, les adresses. Elle court dans tout le quartier, elle trouve un gamin et puis un autre. Elle les emmène avec elle. Mais non, le policier ne leur fera aucun mal, et elle non plus, elle les emmène chez leur parents, avec eux elle explique aux parents la situation :

    « - Mais si des gamins disent ça à dix ans, Madame, à quinze ans, ils tuent et c’est les meurtres dans la Zup.

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    Vous savez, nous sommes destinés à vivre ensemble, la vie nous a placés dans le même quartier, alors, il faut bien que nous nous entendions ! Sinon, ça va être infernal et sans fin !

    Il faut absolument que nos gamins vivent dans la paix. S’il vous plaît, Madame, vous êtes une Maman, nous, les Mamans, nous ne pouvons pas laisser faire ça ! S’il vous plaît, expliquez leur aussi ! »

    Les mamans sont stupéfaites, consternées.

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    Les papas aussi, quand ils ont là.

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    Maintenant il est temps de se retrouver avec Benjamin, de tirer la situation au clair. Benjamin a sûrement fait quelque chose de travers, mais ce n’est pas une raison pour le tuer !

    A 8 heures du soir, les gamins sont là, avec Benjamin, chacun s’explique, il y a eu des injures réciproques, des blessures d’amour propre qu’il faut laver, venger.

    Mon Dieu ! Que la vie est peu de chose en regard de ces orgueils.

    Michèle, gentiment, comprend, explique, et enfin chacun se tend la main et demande pardon. Non, cela ne se reproduira plus, non, on ne va plus se monter pour des vexations. Mon Dieu ! Cela fait partie de la vie quotidienne, on ne va pas pour autant en venir aux mains ou aux armes et tuer !

    Les gamins rentrent chez eux.

    La nuit tombe, l’air est doux, le soleil orange et or resplendit, ce soir, c’est la fête de la musique.

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    Pas pour Michèle qui rentre chez elle avec son fils chéri.

    Exténuée, elle s’assied.

    Où a-t-elle trouvé la force de se démener huit heures durant à travers tout le quartier ?

    La douleur, le désespoir, la rage, la révolte, la haine.

    La haine non pas des hommes, mais d'une situation inadmissible, intolérable.

    Maintenant, c'est passé, c'est nettoyé, c’est fini.

    Michèle dîne avec son fils, parle avec lui, elle l’emmène se coucher, et fait une prière avec lui avant qu’il ne s’endorme.

    « Mon Dieu, merci de m’avoir protégé cette journée, s’il te plaît, garde moi, chaque jour, garde et protège ma maman, mon papa, aide moi à respecter mes copains, pour que je m’entende mieux avec eux. »

    Michèle se couche à son tour. La nuit, un rêve la visite.

    Rêve

    Dans son rêve, elle entre dans son bureau.

    Sur la droite il y a une petite table devant le mur recouvert de la tenture indienne pourpre, qui représente l’arbre de vie. Elle aime beaucoup cette tenture.

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    Un homme est assis là. C’est Dieu qui l’attend. Il la regarde quand elle rentre.

    - Tiens, lui dit-il, je t’ai préparé un bouquet de fleurs, je te l’ai posé sur ton bureau.

    Michèle est émue aux larmes :

    Quoi ! Dieu lui a préparé un bouquet ? Pour elle ? Il a pensé à elle, spécialement ?

    Il y a quelques années, elle avait lu dans le livre de Christiane Riedel « Rêves à Vivre », le récit de ce rêve où le Père préparait une fleur pour sa fille, mais il lui disait qu’elle devait encore attendre pour l’avoir. Eh bien, pour elle, Michèle, le bouquet est prêt ! Quelle délicate attention !

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    Et Dieu poursuit :

    - Tu peux choisir une fleur dans ce bouquet, elle est pour toi, je te la donne.

    Dans le joli vase sur le bureau, Michèle choisit une fleur. 

    Et l’ombre de la nuit s’étend, veloutée et bienfaisante.

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    Au matin Michèle se réveille :

    - Ma fleur ! Oh ! Dieu m’a donné une fleur ! Mais quelle fleur ?

    Elle va prendre son herbier dans sa bibliothèque et cherche si la fleur du rêve s’y trouve.

    Mais oui !

    La voilà, cette même fleur, une fleur de feu, une marguerite aux pétales rouges et jaunes, une fleur vivace, c’est une gaillarde !

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    Quel baume ! Quelle bénédiction ! Dieu lui décerne le titre de gaillarde ! C’est la marque, le souvenir de l’approbation, de l’affection que Dieu lui donne après cette journée où, mordue par la douleur et la haine, elle s’est battue par amour pour son fils, par amour pour les autres, par amour pour la vie, contre une situation intolérable.

     

    Blog

    Vous trouverez cet article avec le lien ci-dessous.

    http://christiane-riedel.blogspirit.com/archive/2010/04/13/un-cadeau-inattendu.html

     

    Illustrations

    Visage de femme : http:/www.us.123rf.com

    Hall d’immeuble : http://upload.wilimedia.org

    Rouge orange et noir : taches-et-couleurs

    Policier :http://img-zigoret.com

    Journée de la musique :http://lesmemes.free.fr

    Zup : http://www.geographie-geomatique

    Meurtriers à quinze ans :http://ffsalgerie.unblog.fr

    Femme : http://www.courrierahuntsic.com

    Femme : http://www.intal.be

    Homme :http://photoparismatch.com

    Femme : http://www.plumedepresse.net

    Coucher de soleil :vues du ciel. free

    Arbre de vie : http://www.laetitiabourget.org

    Bouquet de fleurs : raf.photos.blogspot.com

    La reine de la nuit : Detail du décor peint par l’artiste allemand Schinkel pour l’opéra de Mozart « La Flûte enchantée » 1791

    Gaillarde : http://www.mdecg54.fr

    Gaillardes : h.m.jardinoise.com

    Gaillarde :http://a31.idata.over-blog.com

     

  • QUAND LE RÊVE DEVIENT RÉALITÉ

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    La dernière fois nous avons vu Renart rôder autour du poulailler affolé. Seul Chantecler le coq, qui ne l'a pas vu, est convaincu que le danger n'existe pas. D'ailleurs n'est-il pas le puissant protecteur de cette sotte volatile ? Il s'endort donc tranquille mais reçoit un rêve qui l'alerte fort. Il en demande l'interprétation à Pinte, la meilleure tête de la troupe. Selon notre finaude, le rêve vient prévenir le coq qu'il va se retrouver dans la gueule de Renart. Alerte donc ! Mais Chantecler, rempli de confiance en lui, déclare bien fou celui qui s'épouvante d'un rêve, il prie donc Pinte de se taire et se rendort.

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    Or Renart n’avait rien perdu de l’entretien de Chantecler et de Pinte. Il avait vu avec satisfaction la confiance du coq, et quand il le crut bien rendormi, il fit un mouvement, mit doucement un pas devant l’autre, puis s’élança pour le happer d’un seul bond. Mais si doucement ne put-il avancer que Chantecler ne le devinât, et n’eût le temps de faire un saut et d’éviter l’atteinte, en volant de l’autre côté du fumier.

    Renart voit avec dépit qu’il a manqué son coup ; et maintenant, le moyen de retenir la proie qui lui échappe ?

    Ah ! mon Dieu, Chantecler, dit-il de sa voix la plus douce, vous vous éloignez comme si vous aviez peur de votre meilleur ami. De grâce, laissez-moi vous dire combien je suis heureux de vous voir si dispos et si agile. Nous sommes cousins germains, vous savez. »

    Chantecler ne répondit pas, soit qu’il restât défiant, soit que le plaisir de s’entendre louer par un parent qu’il avait méconnu lui ôtât la parole. Mais pour montrer qu’il n’avait pas peur, il entonna un brillant sonnet.

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    « Oui, c’est assez bien chanté, dit Renart, mais vous souvient-il du bon Chanteclin qui vous mit au monde ? Ah ! c’est lui qu’il fallait entendre. Jamais personne de sa race n’en approchera. Il avait, je m’en souviens, la voix si haute, si claire, qu’on l’écoutait une lieue à la ronde, et pour prolonger les sons tout d’une haleine, il lui suffisait d’ouvrir la bouche et de fermer les yeux.

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    Cousin, fait alors Chantecler, vous voulez apparemment railler.

    Moi railler un ami, un parent aussi proche ? Ah ! Chantecler, vous ne le pensez pas. La vérité c’est que je n’aime rien tant que la bonne musique, et je m’y connais. Vous chanteriez bien si vous vouliez ; clignez seulement un peu de l’œil, et commencez un de vos meilleurs airs.

    Mais d’abord, dit Chantecler, puis-je me fier à vos paroles ? Éloignez-vous un peu, si vous voulez que je chante : vous jugerez mieux, à distance, de l’étendue de mon fausset.

    Soit, dit Renart, en reculant à peine, voyons donc cousin, si vous êtes réellement fils de mon bon oncle Chanteclin. »

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    Le coq, un œil ouvert l’autre fermé, et toujours un peu sur ses gardes, commence alors un grand air.

    « Franchement, dit Renart, cela n’a rien de vraiment remarquable ; mais Chanteclin, ah ! c’était lui : quelle différence ! Dès qu’il avait fermé les yeux, il prolongeait les traits au point qu’on l’entendait bien au-delà de l'enclôt. Franchement, mon pauvre ami, vous n’en approchez pas. »

    Ces mots piquèrent assez Chantecler pour lui faire oublier tout, afin de se relever dans l’estime de son cousin : il cligna des yeux, il lança une note qu’il prolongeait à perte d’haleine,

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    quand l’autre croyant le bon moment venu, s’élance comme une flèche, le saisit au col, et se met à la fuite avec sa proie. Pinte qui le suivait des yeux, pousse alors un cri des plus aigus.

    « Ah ! Chantecler, je vous l’avais bien dit ; pourquoi ne m’avoir pas crue ! Voilà Renart qui vous emporte. Ah ! pauvre dolente ! Que vais-je devenir, privée de mon époux, de mon seigneur, de tout ce que j’aimais au monde ! »

     

    Cependant au moment où Renart saisissait le pauvre coq, le jour tombait et la vieille femme, gardienne de l’enclos, ouvrait la porte du poulailler. Elle appelle Pinte, Bise, Roussette ; personne ne répond ; elle lève les yeux, elle voit Renart emportant Chantecler à toutes jambes.

    « Haro Haro ! s’écria-telle, au Renart, au voleur ! » et les paysans d’accourir de tous côtés.

    « Qu’y a-t-il ? Pourquoi cette clameur ?

    Haro, crie de nouveau la vieille, le goupil emporte mon coq.

    Eh ! pourquoi, méchante vieille, dit Constant Desnois, l’avez-vous laissé faire ?

    Parce qu’il n’a pas voulu m’attendre.

    Il fallait le frapper.

    Avec quoi ?

    De votre quenouille.

    Il courait trop fort : vos chiens bretons ne l’auraient pas rejoint.

    Par où va-t il ?

    De ce côté ; tenez, le voyez-vous là-bas ? »

    Renart franchissait alors les haies ; mais les vilains l’entendirent tomber de l’autre côté et tout le monde se mit à sa poursuite. Constant Desnois lâche Mauvoisin, son gros dogue.

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    On retrouve la piste, on l’approche, on va l’atteindre. Le goupil ! le goupil ! Renart n’en courait que plus vite.

    « Sire Renart, dit alors le pauvre Chantecler d’une voix entrecoupée, laisserez-vous ainsi maugréer ces vilains ? À votre place je m’en vengerais, et je les gaberais à mon tour. Quand Constant Desnois dira à ses valets : Renart l’emporte, répondez : Oui, à votre nez, et malgré vous. Cela seul les fera taire. »

    On l’a dit bien souvent ; il n’est sage qui parfois ne folie. Renart, le trompeur universel, fut ici trompé lui-même, et quand il entendit la voix de Constant Desnois, il prit plaisir à lui répondre :

    - Oui, manant, je prends votre coq, et malgré vous.

    Mais Chantecler, dès qu’il ne sent plus l’étreinte des dents, fait un effort, échappe, bat des ailes, et le voilà sur les hautes branches d’un pommier voisin,

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    tandis que, dépité et surpris, Renart revient sur ses pas et comprend la sottise irréparable qu’il a faite.

    « Ah ! mon beau cousin, lui dit le coq, voilà le moment de réfléchir sur les changements de fortune.

    Maudit soit, dit Renart, la bouche qui s’avise de parler quand elle doit se taire !

    Oui, reprend Chantecler, et la malegoute crève l’œil qui va se fermer quand il devait s’ouvrir plus grand que jamais. Voyez-vous, Renart, fol toujours sera qui de rien vous croira : au diable votre beau cousinage ! J’ai vu le moment où j’allais le payer bien cher ; mais pour vous, je vous engage à jouer des jambes, si pourtant vous tenez à votre pelisse. »

    Renart ne s’amusa pas à répondre. Une fourrée le mit à l’abri des chasseurs. Il s’éloigna l’âme triste et la panse vide, tandis que le coq, longtemps avant le retour des paysans, regagnait joyeusement l’enclos, et rendait par sa présence le calme à tant d’amies que son malheur avait douloureusement affectées.

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    Illustrations

    Je remercie les photographes dont les illustrations m'ont permis d'illustrer mon blog.

    Renard : poulesetcie.com

    Chantecler chante 1 : thetimesss.co.uk

    Chanteclin, le coq qui chante 2 : pinterest.com

    Renard : contrepoints.org

    Chantecler chante 3 : chickenbreedslist.com

    Le dogue : forum.chien.com

    Chantecler sur la branche : www.lexpress.fr

    Chantecler et ses poules : consoglobe.com

    Chantecler et Pinte : upc.online.org