Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

UN GESTE DE RÊVE, UN INSTANT DE VRAI BONHEUR

Imprimer

 

 Chers amis,

J'ai trouvé cette vidéo tellement adorable que je me hâte de vous la transmettre :

 

http://www.letribunaldunet.fr/insolite/petit-garcon-supporter-portugal-reconforte-supporter-de-lequipe-de-france-larmes-adorable-video.html?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=Newsletter+quotidienne

 

Bonne soirée

 

Christiane

Commentaires

  • Bonsoir Christiane. Oui, cette vidéo est délicieuse et mérite d'être revue. Je viens ici à vous puisque sur l'article que vous m'avez indiqué les commentaires sont fermés. J'ai lu celui-ci, ainsi que ceux auxquels il renvoie, avec un immense intérêt, auquel s'est ajoutée mon admiration pour les belles et puissantes illustrations trouvées et surtout pour la justesse et la profondeur de vos interprétations. Vous citez des rêves particulièrement violents et si j'ai fait par le passé de "grands rêves" je n'en ai jamais fait d'aussi épouvantables. Vos analyses sont passionnantes et, je vous l'assure, rejoignent totalement ma pensée. Élevée dans une atmosphère chrétienne, à proximité de gens très engagés dans la foi mais vivant surtout dans une famille de musiciens qui m'a inspiré une mystique très instinctive (et nourrie d'influences protestantes et orthodoxes à travers Bach ou les compositeurs russes), j'ai rejeté le dogme classique à l'adolescence en comprenant justement ce drame du mal dont l'origine est indéniablement émotionnelle (accompagnée des opéras de Wagner - Parsifal - et de Richard Strauss -Salomé). Très tourmentée, j'ai cherché désespérément un psychanalyste jungien - me délectant après Pierre Daco des écrits de CGJung - et j'ai finalement été suivie par une personne qui a creusé l'abîme que je sentais en moi jusqu'à la déchirure - car elle m'a laissée brutalement - déchirure qu'a ensuite tenté de guérir une autre thérapeute que j'ai beaucoup appréciée : Mme Cophignon-Kroener. J'ai relaté cela dans des poèmes, principalement ceux publiés ici (http://www.atramenta.net/lire/labyrinthes-et-flammes/2993 - Sur ce site où je porte mon nom véritable vous avez également 3 grands rêves faits à l'âge de 25 ans, avant la thérapie, dans ce récit : http://www.atramenta.net/lire/beatrice-ou-lart-du-chant/2622).
    Cependant il est certain qu'il faut traverser le mal et qu'on ne peut en faire l'économie. Toute ma vie me l'a prouvé ; malgré mes belles intentions et mes beaux rêves je n'ai cessé de connaître des luttes et des revers, et c'est de nouvelles thérapies, plus "corporelles" qui dans les années 90 m'ont permis encore d'avancer en explorant le rebirth, la danse sauvage yeux fermés, différents exercices de sophrologie à effectuer seul ou en partenariat... C'était à la mode certes mais j'explorais enfin l'intérieur de ma psyché sans faire l'économie du physiologique. Je rencontrais réellement mes émotions et les exprimais pleinement, au lieu de rester dans la mentalisation.
    Et en effet maintenant je trouve des relations évidentes entre les 'bien-pensants" soi-disant bouddhistes qui se la jouent "compassion" et les "bien-pensants" soi-disant chrétiens qui se la jouent "amour des autres" (on ne dit plus charité ! mais c'est pareil...). Je me suis accrochée récemment sur un blog avec une dame de la mouvance bouddhiste parce que j'avais critiqué une citation disant qu'il fallait "s'occuper des autres et non pas de soi, pourquoi ? Parce que les autres sont nombreux et qu'on est tout seul"... Évidemment la sommité du bouddhisme classique qui disait cela devait être plus avancé que moi, mais telle qu'elle se présentait la citation ne me paraissait pas nous donner de bons conseils. Avant de s'occuper des autres, on s'occupe de soi.
    Depuis les années 2000 j'avais trouvé un équilibre et vivais intensément une vie réconciliée, jusqu'au jour où j'ai rencontré l'auteure du blog que je vous ai mis en lien chez Ariaga. J'avoue que j'étais encore un peu en recherche à l'intérieur de moi mais je n'imaginais pas une seconde que cette personne, qui comme moi publiait des poèmes, avait été initiée par un maître indien, non pas renommé car la renommée est la pire des choses, mais très, très profondément initié lui-même. J'ai suivi son conseil, qui est de creuser profondément en moi jusqu'à trouver le Maître qui s'y trouve, dans les profondeurs cachées. Ce Maître une fois trouvé, les épreuves nécessaires sont présentées pour que l'initiation s'effectue d'elle-même. Je ne prétends rien savoir. J'essaie, et si je me trompe la vie m'envoie la gifle nécessaire pour me corriger. Parviendrai-je au but ? Je l'ignore. Mais je ne souscris à aucune lignée guimauve abâtardie par l'occident, à aucune assertion dont je n'aurais moi-même ressenti la vérité ou la nécessité...
    Juste un petit mot pour finir : j'ai commencé mon blog en 2005 sur overblog et il était voué à la poésie, à la musique et à la nature. En 2014 j'ai dû comme la plupart des over-blogueurs émigrer ailleurs, ce fut sur eklablog où j'ai récupéré l'ancien blog ; mais comme je venais de me jeter dans l'advaïta vedanta j'ai peu à peu infléchi mon sujet vers des réflexions libres sur mon cheminement.
    En espérant ne vous avoir pas trop lassée par ces longues considérations, je vous prie de croire à ma plus profonde sympathie.

Écrire un commentaire

Optionnel