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Dieu - Page 2

  • IL EST UN RÊVE ETRANGE ET DEBONNAIRE

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    IL EST UN RÊVE ETRANGE ET DEBONNAIRE
    POUR QUI JE DONNERAIS TOUT MOLIERE
    TOUT PASCAL, TOUT DESCARTES ET TOUT VOLTAIRE…

    Aujourd’hui, je prends plaisir à faire connaître un rêve étonnant, reçu vers 1930 par un américain, qui connaissait le grand clairvoyant Edgar Cayce, mort en 1944.
    15aef633351dabd7c41bb0f58d81a06d.jpg Edgar Cayce avait l’extraordinaire faculté de s’endormir à volonté et de répondre alors pendant son sommeil aux questions qu’on lui posait. Il a ainsi aidé des milliers de personnes dans tous les domaines. Ses paroles, prises en sténo et retranscrites, sont enregistrées et disponibles à l’ARE, Association for Research and Enlightenment à Virginia Beach, aux USA.
    6c8cfcc102b6fedefaa18ac81c177762.jpgPlusieurs ouvrages le font connaître au public français. Vous trouverez de nombreuses informations passionnantes sur le web.

    Edgar Cayce avait aussi la faculté d’interpréter les rêves dans son sommeil. Ce rêve lui a donc été confié.
    Contrairement à mon habitude, je ne vous donnerai pas l’interprétation de ce rêve maintenant. Je vous ai expliqué dernièrement qu’étant très absorbée en ce moment, je dispose de peu de temps pour écrire sur mon blog. Je viendrai donc faire le commentaire de ce rêve la prochaine fois. Cependant, je vous rappelle d’emblée que le rêve est avant tout un message INDIVIDUEL et que ce qui est pour l’un n’est pas nécessairement ce qui est pour l’autre.

    Voici donc ce rêve : Vous allez voir, il est superbe !
    Rêve :

    « Je me trouvais dans le salon avec ma femme et ma mère. 70b41c1606a7682b8115a00d936b73da.jpg






    Notre bonne entra dans la pièce et nous dit :

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    - Il faudrait que vous alliez près de la porte d’entrée parce que Dieu va venir, il vous faudra l’accueillir et c’est par-là qu’il va rentrer.

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    Ma femme et ma mère ne firent guère attention à ce qu’elle disait, mais moi, je me fis tout de suite beau
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    Et je me rendis vers l’entrée.

    La bonne annonça alors notre distingué visiteur, elle annonça que Dieu passait nous voir.
    Je me précipitai dans le couloir d’entrée vers la porte,

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    et là à mi-chemin je rencontrai Dieu, je lui sautai au cou, je jetai mes bras autour de lui et le serrai dans mes bras. Il m’embrassa. Puis je regardai comment il était. Il était grand, bien fait, bien bâti. Sa coupe de cheveux était impeccable, ses joues bien rasées, il portait un costume marron et un chapeau melon gris.

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    Il avait l’air intelligent, l’œil était gentil mais perçant.

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    Son expression était ferme, ses traits étaient nets. Il éclatait de force et de santé. Il avait l’air d’un homme d’affaires, consciencieux, gentil mais juste et sincère. Il n’y avait rien en lui de ramolli, aucun faux-fuyant, rien de larmoyant, pas de sensiblerie. On pouvait dire qu’avec cet homme là on aimerait faire des affaires. Il était Dieu dans la chair d’un business man, d’un industriel, non pas d’un homme du clergé. Je reconnus l’homme en lui. Il était l’homme d’aujourd’hui que j’accueillais de tout cœur.
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    Nous passâmes devant mon armoire à liqueur qui était à moitié ouverte. Dieu regarda et je lui montrai la moitié ouverte de l’armoire. Mais je me souvins que Dieu savait tout. Tant qu’à faire alors, autant lui montrer tout, plutôt que de cacher quelque chose.
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    J’ouvris donc tout grand l’armoire des deux côtés et lui montrai en particulier le Gin que j’utilise pour mes coktails.

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    - C’est en cas de maladie, lui dis-je.
    - Vous êtes bien préparé, répliqua-t-il d’un ton sarcastique.
    Puis je m’assis sur le canapé pour parler avec lui.
    - Vous pourriez travailler plus dur, me dit-il.
    Je voulus répondre, protester, mais je me souvins que Dieu savait tout. J’acquiesçai humblement.
    - Vous pourriez difficilement en faire moins, rajouta-t-il. »

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    (Lecture d’Edgard Cayce 900-231)

    A la prochaine fois et recevez de beaux rêves !