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Rechercher : Le Christ blessé

  • AMUSONS-NOUS, SOURIRES ET SURPRISES...

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    INTERMÈDE 5

     

    AMUSONS-NOUS

     

    SOURIRES ET...SURPRISES… SURPRISES...

     

    Nos dernières études étaient appliquées et quelques peu austères, mais les rêves, maîtres de la gaie science, aiment bien rire, et les anges sourire.

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    Nous revenons donc à notre très sérieuse étude des personnages, qui cette fois-ci va être agrémentée par les plaisanteries des rêves, qui avec leur sel, ne se gênent pas nous servir des blagues polissonnes ou salées.

    Nous avons vu avec Mr Rate et Mr Sayag comment les rêves jouent avec les noms pour nous délivrer des informations. Ainsi, quand on étudie un personnage, il faut toujours garder à l'esprit que le rêve a peut-être choisi ce personnage à cause de son prénom ou de son nom.

    Comment faire ?

    1)

    Une bonne clé à utiliser est de regarder l'étymologie du nom.

    Cette recherche est fort utile et elle était déjà recommandée il y a 1800 ans par l'interprète de rêves grec Artémidore de Daldis, dans son traité d'onirologie (1).

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    Voici ce qu'il écrit :

    «Il faut tenir que ne sont pas inutiles pour l'interprétation les sens étymologiques des noms…

    Par exemple :

    Ménon (celui qui reste), Ménécrate (celui qui résiste), Cratinos (celui qui retient), empêchent de voyager...

    Thrasôn (l'audacieux), Thrasylos ( l'effronté), Thrasimaque ( hardi au combat) excitent à agir et ordonnent de ne pas hésiter.

    Zénon (le fils de Zeus), Zénophile (qui aime Zeus), Théodoros (cadeau de Dieu) remettent les malades en santé.

    Dans le cas des noms féminins il faut faire les interprétations de la même façon.»

    Regardons à notre tour aujourd'hui quelques prénoms actuels que l'on trouve souvent.

    Reprenons d’abord le prénom qui évoque Dieu, dont la racine grecque est theo,

    Théodore (cadeau de Dieu), Théophile, (qui aime Dieu) dans le rêve indiqueraient donc la présence d’une instance thérapeutique,

    Il en est de même pour le prénom féminin Dorothée qui signifie aussi cadeau de Dieu.

    Martin, Martine, Martial : ces prénoms viennent de Mars, le dieu de la guerre. Le personnage qui porte ce nom fait ainsi allusion à des qualités guerrières. Le rêve conseille d'en tenir compte, car il est probablement question de se battre dans un affrontement.

    Christophe, Christine, Christiane, Chris, signifient porteur du Christ ou chrétien, chrétienne. Le rêve rappelle au rêveur la réalité du Christ, compagnon de son âme. L'état et les activités du personnage indiqueront au rêveur la qualité de sa vie spirituelle.

    A notre époque d'athéisme, le rêve montre souvent un ami, ou un fils du nom de Christophe qui, par exemple, peut être malade.

    Etienne, Stéphanie, Steve ont pour étymologie le mot grec qui signifie "couronne". Il convient alors de se demander si le rêve désignerait par là l'activité chez le rêveur du chakra " couronne", dont l'ouverture met en contact avec l'influx divin.

    Nicolas, Nicole, Colas, Colette proviennent de deux mots grec "laos", et "niké" qui signifie "peuple " et "victoire". "Niké" est la déesse de la victoire. Ces prénoms annoncent ainsi une victoire.

    images.jpg

    Le prénom peut être aussi Victor, Victoire ou Victorine, Victoria, à côté de Mr Rate qui évoque l'échec.

    Ce détail, qui pourrait vous paraître inutile, est pourtant du plus grand secours. J'en ai fait moi-même la précieuse expérience. Il y a une vingtaine d’années, je venais de faire la déclaration d’impôts de l’association quand je reçus le rêve suivant :

     

    Rêve n° 18 : Nicole, appelez la police !

    Je rêve que quelqu'un a fait entrer un tourne-vis dans la serrure de ma porte d'entrée et l'agite dans tous les sens pour essayer de trouver quelque chose. Mon employée de maison se trouve avec moi dans l'appartement, et, pendant que je surveille ce qui se passe, je lui crie :

    "- Nicole, Nicole, appelez la police !"

    Je me réveille fort intriguée.

    Dans la matinée le facteur m'apporte une lettre recommandée. C'est une lettre du service des impôts, qui m'accusent d'avoir détourné de l'argent de mon association. Je me retrouve avec une amende de 2000 € à payer au nom de Christiane Riedel, et une amende de 3200 € à payer par l'association.

    Entre autres, l'inspecteur me reproche par exemple d'avoir utilisé à mon profit personnel un bouquet de fleurs que j'avais acheté pour mon atelier.Ça alors, c'est le bouquet ! Je suis ahurie.

    Mon rêve me revient vite à l'esprit : dans mon rêve je crie : "Appelez la police !"

    Je confie donc cette affaire à une avocate, spécialiste des associations, elle est gardien de l’ordre et représente l’autorité, elle entame un procès.

    Et je ne m'inquiète pas trop.

    Comment ça ?

    Eh bien ! Qui donc dans mon rêve va appeler la police ? C'est l'employée de maison en moi, celle qui nettoie les saletés ; elle s'appelle Nicole.

    Mais Nicole, c'est celle qui emporte la victoire !

    Trois semaines plus tard, l'inspection des impôts retirait son accusation.

    Ainsi, avec le tourne-vis, le rêve bienveillant m'a prévenue qu'un voleur voulait fouiller chez moi pour essayer d’attraper quelque chose.

    Le rêve m'a ensuite montré comment me défendre : appeler la police, faire appel à un avocat qui mette la situation au net.

    Et, merveille, il m'a dit que je gagnerais l'affaire. Et ce fut le cas.

    Alors, faites attention dans votre rêve à Nicole, Nicolas, ou Colette, Nicolette ou encore Victor, Victoire ou Victorine, Victoria.

    Nice

    Et si dans votre rêve vous vous trouvez dans la ville de Nice, n’oubliez pas que la ville fut un port grec qui portait le nom de Nikaïa : la Victorieuse, d'où Nice tire son nom.

    2)

    Pour comprendre certains noms, ayez l'esprit "mal tourné" !

    Avec Mr Sayag, nous avons déjà vu combien les rêves peuvent être coquins. (2) D'une façon très correcte, très bon chic bon genre, ils no

  • VENDREDI SAINT, JOUR DE LA CRUCIFIXION DE JESUS

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    Chers amis, blogueuses et blogueurs,

    Il y a quelques années, il y a quinze ans, en décembre 2009, j’ai écrit pour Noël sur mon blog un beau message. Ce message commençait par l’invocation du mystique allemand Angelus Silesius qui, au 17ème siècle s’écriait :

    Que me sert, ô Gabriel, que tu salues Marie,

    Si tu n’as pas le même message pour moi ?

    Et triomphalement, moi aussi, je célébrais la présence de l’enfant divin né à Noël, dans ma vie, et dans la vôtre.

    Oui.

    Oui. Bon.

    Oui. Oui. Bon.

    Be…

    Voilà que quelque chose me gratte l’oreille.

    Bouh la la !

    Quelqu’un me parle dans ma tête et me dit :

    - Mais oui, ma p’tite vieille, si tu glorifies la naissance du divin en toi comme en chacun, il te devient inévitable de rester dans ta logique jusqu’au bout et d’en accueillir les conséquences, quelles qu’elles soient, n’est-ce pas ?

    - Oui, c’est juste. Voyons alors. A quoi cela nous mène-t-il ?

    Ah oui !

    La vie du Christ a commencé à moment célébré à Noël et s’est achevée au moment célébré à Pâques. C’est vrai.

    Alors célébrer Noël conduit à célébrer Pâques, la crucifixion et la résurrection.

    Parler de la crucifixion, célébrer la mise à mort du Christ ?

    Oh ! Mais c’est trop affreux, c’est morbide.

    Je ne m’en sens absolument pas capable.

    Que puis-je vous en dire, moi, pauvre chétive, comme disaient les dames d’autrefois ?

    Assez de jérémiades ! Allez ! Oust !

    Laissons la place au rêve ! Laissons le nous parler de la crucifixion.

    Il vous dira les choses mieux que moi, il parle oh combien mieux !

     

    Voyons donc un rêve. Non, ce n’est pas un rêve, c’est une vision, un rêve à l’état de veille.

    C’est le rêve de Lilia, qui a 27 ans. Lilia est une américaine qui vient de traverser une série d'épreuves qui l'ont accablée, tant au niveau de sa santé, de sa vie professionnelle et de ses relations.

    Un soir elle s'interroge sur sa vie et le sens de ses épreuves.

    Elle raconte ce qui s’est passé alors.

    C'était une vision, pas un rêve.

    Vision 46

    Jésus m'a visitée le 6 mars 1987.

    Je l'ai réellement vu à côté de mon lit. Il portait une robe blanche et un manteau rouge drapé sur ses épaules. Il avait une barbe, une moustache et des cheveux longs brun clair. Il avait l'apparence physique qu'on lui prête habituellement.

    Jésus était à ma gauche, et moi j'étais étendue sur le dos, la tête soutenue par

    l'oreiller et les yeux grand ouverts.

    Nous nous regardions l'un l'autre et tandis que je fixais ses yeux bleu clair il me dit :

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    « - Lilia, tout ce qui t'est arrivé, oui, c'était négatif. Mais regarde-le de cette façon… »

     

    Jésus étendit son bras gauche en m'indiquant de regarder dans cette direction. Je tournai la tête, regardai vers sa main et vis un film dans les airs. Je regardai le film et remarquai des foules de gens des deux côtés de la route.

    La foule du film et moi-même dans mon lit nous observions un monsieur pauvrement vêtu d'habits rouge et blanc. Il avait l'air physiquement faible et épuisé tandis qu'il avançait sur la route, parce qu'il portait une croix de bois sur ses épaules et sur son dos.

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    Il me vint alors à l'esprit que j'étais en train d'assister à l'histoire personnelle de Jésus, le jour exact où il changea le monde pour toute l'humanité.

    Juste au moment où je compris cela, le Jésus, qui se tenait près de mon lit, me fit remarquer :

    « - Tu vois ce qui s’est produit dans ma propre vie ? »

    Il étendit sa main vers le film.

    « - Oui, reprit-il , ce furent des choses terribles, c’était négatif, n’est-ce pas ?», et sa main atteignit le film. A ce moment-là, il retira la croix de son dos dans le film et il dit :

    « - Mais en réalité, c'était positif. »

    Jésus retira la petite croix du film, se retourna et me regarda.

    Je m’aperçus alors que la croix dans la main de Jésus s'était transformée dans le signe noir de la croix de l'addition, de la taille d'une balle de ping pong.

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    Pendant quelques instants il tint en face de moi cette croix noire et il dit :

    « - Cette croix est positive. »

    Tandis que je contemplais ce signe noir, il poursuivit :

    « - Lilia, les épreuves que tu as vécues étaient en réalité positives ».

     

    Je regardais Jésus à côté de moi, je réfléchissais en même temps au rapport qui régnait entre son histoire personnelle dans le film et la croix noire dans sa main.

    Rapidement, en pensée, je revis tout ce que j'avais traversé et je reçus la compréhension totale de la raison pour laquelle j'avais connu l'adversité. Même si j'avais souffert physiquement et émotionnellement, ces épreuves m’avaient réellement amenée à un gain spirituel. Ces pertes que j’avais vécues avaient permis à mon âme de grandir ici sur la terre.

    Je me dis que j’avais eu beaucoup de